Abidjan, 08 déc(AIP)-Un chroniqueur du groupe Fraternité Matin, la journaliste Marcelline Gnéproust, a été sacrée lauréate 2012 du "Super-Ebony", vendredi, lors de la cérémonie dédiée aux 14èmes festivités de la Nuit des Ebony de Côte d`Ivoire, initiée par l’union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), et tenues au palais des Congrès de l’Hôtel Ivoire d`Abidjan.
En attraction avec le journaliste de la RTI1, Eugène Attoubé, "Ebony du meilleur journaliste de l’audiovisuel", Marcelline Gnéproust, elle-même "Ebony du meilleur journaliste de la Presse écrite", a arraché cette prestigieuse distinction en obtenant un score de 881 points contre 801 à son concurrent de RTI1, succédant ainsi à Irène Bath, Super-Ebony 2011, du quotidien l’Inter.
Par cet "exploit, la lauréate s`adjuge donc la villa de quatre pièces, estimée à 27 millions F CFA associée au prix. Il convient de signaler que la lauréate 2011, jusqu`à vendredi, n`était pas encore entrée en possession de sa villa, a-t-elle révélé, dans un quotidien de la place, dans sa parution de ce vendredi, quelques heures avant la présente édition.
Le prix Ebony, récompense attribuée, chaque année et ce, depuis 1993, à des professionnels des médias ivoiriens qui se sont illustrés, sur une année, au bon exercice de la profession, à travers la qualité de leurs productions dans des grands genres ou genres majeurs du journalisme, notamment l’interview, l’enquête, le reportage ou le dossier.
En dehors du super-Ebony, le "prix Jean-Pierre Ayé de la meilleure interview" a été décerné à Moussa Kéïta du quotidien "Le Patriote", celui de "Diégou Bailly de la meilleure enquête", à Elysée Yao du quotidien "Soir Info", et le "prix Joseph Diomandé du meilleur Reportage" revenu à Abou Traoré du quotidien "Le Jour Plus".
Le président du jury des Ebony, Pr Antoine Kacou, a invité les journalistes ivoiriens à s’appliquer pour offrir de meilleures productions journalistiques aux usagers, et à oeuvrer à relever le niveau de la profession du journalisme en Côte d’Ivoire.
Pour la ministre de la Communication, Affoussiata Bamba Lamine, a exhorté les lauréats de constituer en "modèle" pour les confrères pour arriver l’objectif d’une presse plus professionnelle et plus responsable.
Le nom du prix Ebony est celui d’un journaliste- écrivain ivoirien, réputé "brillant", qui est à l’état civil Essy Kouamé Noël, plus connu sous le pseudonyme de Noël X. Ebony, né à Tanokoffikro (nord-est, district du Zanzan) en 1953et mort à Dakar (Sénégal) le 22 juillet 1986 dans un accident dont les circonstances réelles jusqu’à ce jour non encore élucidées.
(AIP)
Jbk/nf
En attraction avec le journaliste de la RTI1, Eugène Attoubé, "Ebony du meilleur journaliste de l’audiovisuel", Marcelline Gnéproust, elle-même "Ebony du meilleur journaliste de la Presse écrite", a arraché cette prestigieuse distinction en obtenant un score de 881 points contre 801 à son concurrent de RTI1, succédant ainsi à Irène Bath, Super-Ebony 2011, du quotidien l’Inter.
Par cet "exploit, la lauréate s`adjuge donc la villa de quatre pièces, estimée à 27 millions F CFA associée au prix. Il convient de signaler que la lauréate 2011, jusqu`à vendredi, n`était pas encore entrée en possession de sa villa, a-t-elle révélé, dans un quotidien de la place, dans sa parution de ce vendredi, quelques heures avant la présente édition.
Le prix Ebony, récompense attribuée, chaque année et ce, depuis 1993, à des professionnels des médias ivoiriens qui se sont illustrés, sur une année, au bon exercice de la profession, à travers la qualité de leurs productions dans des grands genres ou genres majeurs du journalisme, notamment l’interview, l’enquête, le reportage ou le dossier.
En dehors du super-Ebony, le "prix Jean-Pierre Ayé de la meilleure interview" a été décerné à Moussa Kéïta du quotidien "Le Patriote", celui de "Diégou Bailly de la meilleure enquête", à Elysée Yao du quotidien "Soir Info", et le "prix Joseph Diomandé du meilleur Reportage" revenu à Abou Traoré du quotidien "Le Jour Plus".
Le président du jury des Ebony, Pr Antoine Kacou, a invité les journalistes ivoiriens à s’appliquer pour offrir de meilleures productions journalistiques aux usagers, et à oeuvrer à relever le niveau de la profession du journalisme en Côte d’Ivoire.
Pour la ministre de la Communication, Affoussiata Bamba Lamine, a exhorté les lauréats de constituer en "modèle" pour les confrères pour arriver l’objectif d’une presse plus professionnelle et plus responsable.
Le nom du prix Ebony est celui d’un journaliste- écrivain ivoirien, réputé "brillant", qui est à l’état civil Essy Kouamé Noël, plus connu sous le pseudonyme de Noël X. Ebony, né à Tanokoffikro (nord-est, district du Zanzan) en 1953et mort à Dakar (Sénégal) le 22 juillet 1986 dans un accident dont les circonstances réelles jusqu’à ce jour non encore élucidées.
(AIP)
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