Abidjan - L’Observatoire de la liberté de la presse, de l’éthique et de la déontologie (OLPED) félicite les lauréats du prix Ebony 2012 et les engage à la persévérance.
Vendredi, l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI) a décerné à Marcelline Gnéproust épouse Kouadio de Fraternité Matin, le prix Ebony de la presse écrite et le super Ebony 2012, et à Eugène Attoubé de la RTI1, l’Ebony de la télévision, ainsi que les prix sectoriels respectivement à Touré Yéli du quotidien L’Expression, Bamba Mafougbé du quotidien Le Temps, ABbou Touré du quotidien Le Jour, Moussa Kéita du quotidien Le Patriote et Elysée Yao du quotidien Soir Info.
"Que l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI) trouve ici l’expression des sincères remerciements de l’Olped", écrit le président Zio Moussa dans un communiqué de l’organe d’autorégulation des médias.
Tout en exprimant son entière disponibilité à œuvrer de concert avec toutes les organisations professionnelles du secteur à la professionnalisation du journalisme, le président de l’OLPED engage tous les lauréats de cette édition à servir toujours d’exemple aux autres confrères à travers des écrits au contenu "respectueux des techniques rédactionnelles et de l’éthique et de la déontologie".
Créé à Yamoussoukro en septembre 1995, l’OLPED a pour missions de promouvoir et défendre l'éthique et la déontologie journalistiques, d'assurer la médiation en particulier lorsque les journalistes portent préjudices à des citoyens mais aussi de promouvoir et défendre la liberté de la presse.
Après quelques moments de difficultés, l'observatoire a repris ses activités de monitoring depuis le 19 novembre et voudrait compter sur les journalistes et professionnels de la communication pour l'accompagner dans sa mission de professionnalisation du secteur des médias ivoiriens.
Vendredi, l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI) a décerné à Marcelline Gnéproust épouse Kouadio de Fraternité Matin, le prix Ebony de la presse écrite et le super Ebony 2012, et à Eugène Attoubé de la RTI1, l’Ebony de la télévision, ainsi que les prix sectoriels respectivement à Touré Yéli du quotidien L’Expression, Bamba Mafougbé du quotidien Le Temps, ABbou Touré du quotidien Le Jour, Moussa Kéita du quotidien Le Patriote et Elysée Yao du quotidien Soir Info.
"Que l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI) trouve ici l’expression des sincères remerciements de l’Olped", écrit le président Zio Moussa dans un communiqué de l’organe d’autorégulation des médias.
Tout en exprimant son entière disponibilité à œuvrer de concert avec toutes les organisations professionnelles du secteur à la professionnalisation du journalisme, le président de l’OLPED engage tous les lauréats de cette édition à servir toujours d’exemple aux autres confrères à travers des écrits au contenu "respectueux des techniques rédactionnelles et de l’éthique et de la déontologie".
Créé à Yamoussoukro en septembre 1995, l’OLPED a pour missions de promouvoir et défendre l'éthique et la déontologie journalistiques, d'assurer la médiation en particulier lorsque les journalistes portent préjudices à des citoyens mais aussi de promouvoir et défendre la liberté de la presse.
Après quelques moments de difficultés, l'observatoire a repris ses activités de monitoring depuis le 19 novembre et voudrait compter sur les journalistes et professionnels de la communication pour l'accompagner dans sa mission de professionnalisation du secteur des médias ivoiriens.