En septembre dernier, notre collègue César Ebrokié, journaliste au service politique, a été distingué comme meilleur journaliste pour la promotion des droits humains, dans le cadre du projet d’Education aux Droits l’Homme (Edh) initié par Amnesty International, en collaboration avec Ukaid.
Mercredi, les porteurs du projet se sont rendus à Notre Voie pour remercier le Groupe pour sa participation.
Kengoye Ismaïla, représentant d’Amnesty International section Côte d’Ivoire, a expliqué que le quotidien Notre Voie a eu une participation appréciable, à travers la publication d’articles relatifs aux thématiques abordées, à savoir les questions liées aux droits à l’éducation, au droit à la santé, au droit au logement, ainsi qu’au droit à une alimentation saine. « Nous sommes venus pour voir un peu le lauréat dans son environnement de travail », a-t-il avancé.
Quant à Mme Laurentine Koffi, première vice-présidente de la Ligue ivoirienne des Droits de l’Homme (Lidho), elle a réitéré ses encouragements au journaliste, puis lui a demandé de défendre le prix dans tous ses écrits. « Désormais, nous avons l’œil sur vous. Le tout n’est pas d’avoir un prix, mais il faut pouvoir mériter du prix », a-t-elle déclaré.
Le directeur général par intérim du groupe Notre Voie, César Etou, a exprimé ses remerciements aux initiateurs du projet Edh. Il s’est dit d’autant plus heureux de cette distinction que le Groupe a été victime de graves violations de Droits de l’Homme. « César Ebrokié a été lui-même victime de violations des Droits de l’Homme, car son entreprise a été cassée, après les événements de 2011. Quand on a vécu ça, on ne peut qu’être passionné pour les Droits de l’Homme », dira-t-il. Le directeur général par intérim a, par ailleurs, expliqué que Notre Voie est engagé pour la promotion des droits humains. Aussi a-t-il souhaité que le partenariat ainsi tissé tienne pour d’autres aventures.
M.B.
Mercredi, les porteurs du projet se sont rendus à Notre Voie pour remercier le Groupe pour sa participation.
Kengoye Ismaïla, représentant d’Amnesty International section Côte d’Ivoire, a expliqué que le quotidien Notre Voie a eu une participation appréciable, à travers la publication d’articles relatifs aux thématiques abordées, à savoir les questions liées aux droits à l’éducation, au droit à la santé, au droit au logement, ainsi qu’au droit à une alimentation saine. « Nous sommes venus pour voir un peu le lauréat dans son environnement de travail », a-t-il avancé.
Quant à Mme Laurentine Koffi, première vice-présidente de la Ligue ivoirienne des Droits de l’Homme (Lidho), elle a réitéré ses encouragements au journaliste, puis lui a demandé de défendre le prix dans tous ses écrits. « Désormais, nous avons l’œil sur vous. Le tout n’est pas d’avoir un prix, mais il faut pouvoir mériter du prix », a-t-elle déclaré.
Le directeur général par intérim du groupe Notre Voie, César Etou, a exprimé ses remerciements aux initiateurs du projet Edh. Il s’est dit d’autant plus heureux de cette distinction que le Groupe a été victime de graves violations de Droits de l’Homme. « César Ebrokié a été lui-même victime de violations des Droits de l’Homme, car son entreprise a été cassée, après les événements de 2011. Quand on a vécu ça, on ne peut qu’être passionné pour les Droits de l’Homme », dira-t-il. Le directeur général par intérim a, par ailleurs, expliqué que Notre Voie est engagé pour la promotion des droits humains. Aussi a-t-il souhaité que le partenariat ainsi tissé tienne pour d’autres aventures.
M.B.
