ABIDJAN -- Les autorités sécuritaires ivoiriennes ont décidé d`interdire les explosifs et pétards durant la période des fêtes, a appris Xinhua dimanche de source officielle.
Les autorités ont mis en garde les contrevenants à la mesure, prévenant des actions de répression et de sanctions seront menées.
La mesure qui est entrée en vigueur le week-end s`étendra jusqu`à la fin du mois de janvier.
De l`avis de plusieurs observateurs, la décision prend en compte le contexte sociopolitique sensible que traverse la Côte d`Ivoire.
"Des personnes de mauvaise intention peuvent profiter de la confusion qui est faite souvent entre le bruit des armes et celui des pétards pour frapper et disparaître dans la nature", ont-ils expliqué.
A en croire ceux-ci, il s`agit également d`une mesure sécuritaire au regard des dangers et risques liés à la manipulation des pétards ou explosifs de fête.
"Début janvier 2012, six personnes d`une même famille ont tragiquement trouvé la mort à Abobo dans un incendie. Le feu avait été provoqué par un pétard lancé par un inconnu sur le toit de la maison. L`explosif avait enflammé les fils électriques et favorisé l`incendie", ont-ils rappelé.
La Côte d`Ivoire s`apprêt à célébrer les fêtes de fin d`année dont le ton a été donné samedi avec le lancement de feux d`artifices en présence de la Première dame Dominique Ouattara.
En raison du contexte militaro-politique marqué par des attaques sporadiques d`individus armés, dont la plus récente a eu lieu dimanche à Agboville (sud), l`armée ivoirienne a pris des dispositions pour boucler la capitale économique ivoirienne et les autres grandes villes du pays durant la période des fêtes, pour parer à toute éventualité et permettre aux populations de fêter dans la sérénité.
Les autorités ont mis en garde les contrevenants à la mesure, prévenant des actions de répression et de sanctions seront menées.
La mesure qui est entrée en vigueur le week-end s`étendra jusqu`à la fin du mois de janvier.
De l`avis de plusieurs observateurs, la décision prend en compte le contexte sociopolitique sensible que traverse la Côte d`Ivoire.
"Des personnes de mauvaise intention peuvent profiter de la confusion qui est faite souvent entre le bruit des armes et celui des pétards pour frapper et disparaître dans la nature", ont-ils expliqué.
A en croire ceux-ci, il s`agit également d`une mesure sécuritaire au regard des dangers et risques liés à la manipulation des pétards ou explosifs de fête.
"Début janvier 2012, six personnes d`une même famille ont tragiquement trouvé la mort à Abobo dans un incendie. Le feu avait été provoqué par un pétard lancé par un inconnu sur le toit de la maison. L`explosif avait enflammé les fils électriques et favorisé l`incendie", ont-ils rappelé.
La Côte d`Ivoire s`apprêt à célébrer les fêtes de fin d`année dont le ton a été donné samedi avec le lancement de feux d`artifices en présence de la Première dame Dominique Ouattara.
En raison du contexte militaro-politique marqué par des attaques sporadiques d`individus armés, dont la plus récente a eu lieu dimanche à Agboville (sud), l`armée ivoirienne a pris des dispositions pour boucler la capitale économique ivoirienne et les autres grandes villes du pays durant la période des fêtes, pour parer à toute éventualité et permettre aux populations de fêter dans la sérénité.