Après l’engagement pris par le Président Alassane Ouattara d’aider le Zanzan à sortir de sa situation actuelle de précarité, plusieurs cadres et acteurs de développement préviennent que l’atteinte de cet objectif ne pourra être effective que si le vice du cumul des postes est combattu et rejeté.
Les élections couplées des municipales et des régionales du 24 février 2013 approchent à grand pas. Et déjà, des voix s’élèvent : « Je vous assure que la pauvreté grandissante et le retard du Zanzan sont le fait de l’inorganisation de nos cadres. La gestion des égos et la gourmandise des uns et des autres se posent comme des éléments rétrogrades. Il nous faut d’ailleurs éviter le cumul des postes et promouvoir les volontés et les intelligences qui foisonnent dans le Zanzan », a avertit Bamba Amadou, président de ‘’Action pour le Zanzan’’. Opposé au cumul de postes, il préconise plutôt la valorisation des jeunes talents. « Nous appelons vivement à la mise en valeur des jeunes du Zanzan prêts à s’investir pleinement (...) C’est bien dommage que jusqu’alors, il n’y a pas une association fiable et viable des cadres du Zanzan qui se penchent véritablement sur le développement local. Tous autant qu’ils sont, les cadres se replient sur les stratégies de leurs familles politiques respectives. Nous voulons corriger cela avec ‘’Actions pour le Zanzan’’ », a-t-il fait remarquer. Au-delà des actions à mener par l’Etat de Côte d’Ivoire pour le Zanzan, Bamba Amadou s’engage personnellement pour sa région. «D’ici le premier semestre de 2013, une action d’envergure pour l’adduction en eau potable va se dérouler. Les forages de pompes villageoises vont se multiplier. Les contacts sont déjà là et nous travaillerons en synergie avec les populations pour répondre à leurs attentes. Dans les enquêtes-terrains que nous avons confié à une structure spécialisée, il nous revient que les potentialités du Zanzan ne sont pas négligeables. Nous avons de la production en qualité et en quantité de l’anacarde, de l’igname, du maïs, du cacao, du mil et bien d’autres produits qui sont le fruit d’un peuple travailleur. La ressource humaine étant de qualité, il nous suffira de l’aider à s’épanouir en rouvrant les routes et en facilitant la vente de produits », a-t-il conclu.
K.Hyacinthe
Les élections couplées des municipales et des régionales du 24 février 2013 approchent à grand pas. Et déjà, des voix s’élèvent : « Je vous assure que la pauvreté grandissante et le retard du Zanzan sont le fait de l’inorganisation de nos cadres. La gestion des égos et la gourmandise des uns et des autres se posent comme des éléments rétrogrades. Il nous faut d’ailleurs éviter le cumul des postes et promouvoir les volontés et les intelligences qui foisonnent dans le Zanzan », a avertit Bamba Amadou, président de ‘’Action pour le Zanzan’’. Opposé au cumul de postes, il préconise plutôt la valorisation des jeunes talents. « Nous appelons vivement à la mise en valeur des jeunes du Zanzan prêts à s’investir pleinement (...) C’est bien dommage que jusqu’alors, il n’y a pas une association fiable et viable des cadres du Zanzan qui se penchent véritablement sur le développement local. Tous autant qu’ils sont, les cadres se replient sur les stratégies de leurs familles politiques respectives. Nous voulons corriger cela avec ‘’Actions pour le Zanzan’’ », a-t-il fait remarquer. Au-delà des actions à mener par l’Etat de Côte d’Ivoire pour le Zanzan, Bamba Amadou s’engage personnellement pour sa région. «D’ici le premier semestre de 2013, une action d’envergure pour l’adduction en eau potable va se dérouler. Les forages de pompes villageoises vont se multiplier. Les contacts sont déjà là et nous travaillerons en synergie avec les populations pour répondre à leurs attentes. Dans les enquêtes-terrains que nous avons confié à une structure spécialisée, il nous revient que les potentialités du Zanzan ne sont pas négligeables. Nous avons de la production en qualité et en quantité de l’anacarde, de l’igname, du maïs, du cacao, du mil et bien d’autres produits qui sont le fruit d’un peuple travailleur. La ressource humaine étant de qualité, il nous suffira de l’aider à s’épanouir en rouvrant les routes et en facilitant la vente de produits », a-t-il conclu.
K.Hyacinthe