Bondoukou,- Les chrétiens catholiques ont pris d’assaut, lundi nuit, l’Eglise sainte Odile de Bondoukou pour célébrer la nativité de Jésus, fils de Dieu fait homme pour sauver l’humanité.
Le célébrant principal de la messe, l’Abbé Jean Kra, dans son homélie, a insisté sur le sens de cette fête. "Noël nous invite à croire que Jésus est Dieu et nous engage à sa suite", a-t-il dit, ajoutant qu’il faut faire de Jésus la référence car sans sa présence, la vie n’est rien. L’Abbé Jean a fait comprendre également à ses fidèles chrétiens que Noël est la fête de l’amour, les engageant à se laisser toucher par la détresse des autres. Il a dit que Dieu, à travers Noël, les invite à l’espérance.
Les chrétiens venus nombreux des différents quartiers de Bondoukou ont fêté la naissance de Jésus dans l’allégresse. Ils sont repartis chez eux visiblement joyeux.
Pendant près de trois siècles, les chrétiens ne semblent pas avoir célébré d'autre fête annuelle que Pâques. Progressivement, va apparaitre le désir d'historiciser la naissance de Jésus-Christ. C'est à partir du IVe siècle, une fête de la conception et de la naissance de Jésus-Christ, traduites par l'Épiphanie et Noël, va prendre place à côté des fêtes plus anciennes de Pâques et de la Pentecôte dans le calendrier liturgique chrétien en composition.
Attestée à Rome, sous le pontificat de l'évêque Libère, une fête de l'incarnation du Sauveur se déroule le 25 décembre à l'occasion de laquelle l'évêque rassemble les chrétiens dans la basilique nouvellement construite au Vatican, achevée en 354, dans un cadre plus général qui apparaît comme celui de la constitution d'un calendrier liturgique destiné à concurrencer, à Rome, les réjouissances païennes.
Le 25 décembre devient ainsi la date commémorative de la naissance de Jésus-Christ puis les célébrations du temps de la nativité vont progressivement s'étendre, à l'instar du cycle pascal, avec une période de préparation de deux à quatre semaines l'Avent, puis une période qui se poursuit jusqu'à la conclusion du cycle avec la célébration de la présentation de Jésus au Temple qui prend place le 2 février à la Chandeleur.
ns/cmas
Le célébrant principal de la messe, l’Abbé Jean Kra, dans son homélie, a insisté sur le sens de cette fête. "Noël nous invite à croire que Jésus est Dieu et nous engage à sa suite", a-t-il dit, ajoutant qu’il faut faire de Jésus la référence car sans sa présence, la vie n’est rien. L’Abbé Jean a fait comprendre également à ses fidèles chrétiens que Noël est la fête de l’amour, les engageant à se laisser toucher par la détresse des autres. Il a dit que Dieu, à travers Noël, les invite à l’espérance.
Les chrétiens venus nombreux des différents quartiers de Bondoukou ont fêté la naissance de Jésus dans l’allégresse. Ils sont repartis chez eux visiblement joyeux.
Pendant près de trois siècles, les chrétiens ne semblent pas avoir célébré d'autre fête annuelle que Pâques. Progressivement, va apparaitre le désir d'historiciser la naissance de Jésus-Christ. C'est à partir du IVe siècle, une fête de la conception et de la naissance de Jésus-Christ, traduites par l'Épiphanie et Noël, va prendre place à côté des fêtes plus anciennes de Pâques et de la Pentecôte dans le calendrier liturgique chrétien en composition.
Attestée à Rome, sous le pontificat de l'évêque Libère, une fête de l'incarnation du Sauveur se déroule le 25 décembre à l'occasion de laquelle l'évêque rassemble les chrétiens dans la basilique nouvellement construite au Vatican, achevée en 354, dans un cadre plus général qui apparaît comme celui de la constitution d'un calendrier liturgique destiné à concurrencer, à Rome, les réjouissances païennes.
Le 25 décembre devient ainsi la date commémorative de la naissance de Jésus-Christ puis les célébrations du temps de la nativité vont progressivement s'étendre, à l'instar du cycle pascal, avec une période de préparation de deux à quatre semaines l'Avent, puis une période qui se poursuit jusqu'à la conclusion du cycle avec la célébration de la présentation de Jésus au Temple qui prend place le 2 février à la Chandeleur.
ns/cmas