Le capitaine des Eléphants de Côte d’Ivoire, Didier Drogba, était, hier, à Doraville, un endroit féérique qui offre des espaces de jeux et de restauration, pour partager un moment de rêve avec les enfants défavorisés qui ont souffert de la grave crise. Au nombre de 80 dont dix (10) moniteurs, les enfants ont été sélectionnés parmi les plus défavorisés et vulnérables de l’ouest de la Côte d’Ivoire, de Bouaké, de Yamoussoukro, etc par la Fondation qui porte son nom. C’est une véritable action humanitaire que mène Drogba Didier en mettant la joie au cœur des enfants dont le quotidien a toujours été souffrance et désolation.
Pendant 3 jours, ces enfants dont l’âge varie entre 6 et 12 ans, ont eu droit à des visites pour découvrir les sites touristiques d’Abidjan (aéroport, Hôtel Ivoire, etc.). «Comment faire plaisir aux Ivoiriens. Moi, ce que je veux, c’est faire comprendre aux Ivoiriens qu’il y a des enfants dans ce pays qui ont souffert tous les drames qu’on a vécus. Il faut aider ces enfants à retrouver le sourire, à retrouver la joie de vivre» a dit Drogba d’entrée avant de préciser que ces actions participent du mouvement de réconciliation d’autant qu’il est un commissaire de la Cdvr. Pour lui, se retrouver au milieu des enfants lui donne «du carburant, de la force et de l’énergie». En filigrane, Drogba a indiqué que son contrat en Chine a été motivé, dans une certaine mesure, par le souci «d’avoir le temps et surtout de continuer à développer les relations entre la Chine et l’Afrique». Pour cela, il a dit ne pas regretter aujourd’hui de jouer en Chine. «Ça me fait mal de voir des enfants manquant le minimum. Je me mets à la place de leurs parents qui n’ont pas forcément de moyens». Pour finir, il a promis de rééditer cette action envers les enfants chaque année.
François Konan
Pendant 3 jours, ces enfants dont l’âge varie entre 6 et 12 ans, ont eu droit à des visites pour découvrir les sites touristiques d’Abidjan (aéroport, Hôtel Ivoire, etc.). «Comment faire plaisir aux Ivoiriens. Moi, ce que je veux, c’est faire comprendre aux Ivoiriens qu’il y a des enfants dans ce pays qui ont souffert tous les drames qu’on a vécus. Il faut aider ces enfants à retrouver le sourire, à retrouver la joie de vivre» a dit Drogba d’entrée avant de préciser que ces actions participent du mouvement de réconciliation d’autant qu’il est un commissaire de la Cdvr. Pour lui, se retrouver au milieu des enfants lui donne «du carburant, de la force et de l’énergie». En filigrane, Drogba a indiqué que son contrat en Chine a été motivé, dans une certaine mesure, par le souci «d’avoir le temps et surtout de continuer à développer les relations entre la Chine et l’Afrique». Pour cela, il a dit ne pas regretter aujourd’hui de jouer en Chine. «Ça me fait mal de voir des enfants manquant le minimum. Je me mets à la place de leurs parents qui n’ont pas forcément de moyens». Pour finir, il a promis de rééditer cette action envers les enfants chaque année.
François Konan