Abidjan - Le président ivoirien, Alassane Ouattara, a décrété mardi un "un deuil national de trois jours, à compter de mercredi", suite à la bousculade survenue mardi au Plateau et ayant fait une soixantaine de morts et plus de deux blessés, annonce un communiqué de la Présidence de la République dont copie a été transmise à l’AIP.
"En raison de ce drame, le Président de la République décrète un deuil national de trois jours à compter du mercredi 2 janvier 2013", note le document, qui ajoute qu’"en conséquence, la cérémonie de présentation des vœux au Chef de l’Etat, initialement prévue pour le jeudi 3 janvier 2013, est reportée à une date ultérieure".
Ces incidents sont intervenus aux environs d'une heure du matin, sur la voie séparant le stade Houphouët-Boigny et l’Assemblée nationale, alors qu’une foule immense de personnes venues d’autres communes du district d’Abidjan, tentaient de retournaient chez eux, après avoir assisté au lancement des feux d’artifice du nouvel an (2013).
Quarante-huit blessés avaient été hospitalisés au CHU de Cocody, la plupart atteints de fractures des membres inférieurs, contusions et traumatismes crâniens. Trente-et-un d’entre eux ont été libérés quelques heures plus tard, a appris l’AIP de source médicale. Dix-sept autres personnes sont encore retenues en observation, dont certains devraient être libérés dans les heures à venir selon la même source.
"Le Président de la République présente ses condoléances les plus attristées aux familles et aux proches des victimes et les assure de toute sa compassion dans ces circonstances douloureuses. Aux blessés, il souhaite un prompt rétablissement", souligne le communiqué, précisant que ", le Chef de l’Etat a instruit le gouvernement de procéder à la prise en charge totale des victimes".
Alassane Ouattara qui s’est rendu en fin de matinée, ce mardi, au chevet des blessés évacués au CHU de Cocody (Abidjan-Est), "a par ailleurs demandé qu'une enquête soit menée le plus rapidement pour déterminer les circonstances et les causes de cette bousculade".
Le ministre de l'Intérieur Hamed Bakayoko a confirmé la soixantaine de morts sur le plateau du journal de la mi-journée de la RTI 1. M. Bakayoko qui n’a pas donné de détail sur les circonstances de ce drame a annoncé la mise en place d’une cellule de crise au siège de l’office national de la protection civile pour la gestion de la situation, mais aussi d’aider les parents des victimes et personnes encore introuvables après le drame.
"En raison de ce drame, le Président de la République décrète un deuil national de trois jours à compter du mercredi 2 janvier 2013", note le document, qui ajoute qu’"en conséquence, la cérémonie de présentation des vœux au Chef de l’Etat, initialement prévue pour le jeudi 3 janvier 2013, est reportée à une date ultérieure".
Ces incidents sont intervenus aux environs d'une heure du matin, sur la voie séparant le stade Houphouët-Boigny et l’Assemblée nationale, alors qu’une foule immense de personnes venues d’autres communes du district d’Abidjan, tentaient de retournaient chez eux, après avoir assisté au lancement des feux d’artifice du nouvel an (2013).
Quarante-huit blessés avaient été hospitalisés au CHU de Cocody, la plupart atteints de fractures des membres inférieurs, contusions et traumatismes crâniens. Trente-et-un d’entre eux ont été libérés quelques heures plus tard, a appris l’AIP de source médicale. Dix-sept autres personnes sont encore retenues en observation, dont certains devraient être libérés dans les heures à venir selon la même source.
"Le Président de la République présente ses condoléances les plus attristées aux familles et aux proches des victimes et les assure de toute sa compassion dans ces circonstances douloureuses. Aux blessés, il souhaite un prompt rétablissement", souligne le communiqué, précisant que ", le Chef de l’Etat a instruit le gouvernement de procéder à la prise en charge totale des victimes".
Alassane Ouattara qui s’est rendu en fin de matinée, ce mardi, au chevet des blessés évacués au CHU de Cocody (Abidjan-Est), "a par ailleurs demandé qu'une enquête soit menée le plus rapidement pour déterminer les circonstances et les causes de cette bousculade".
Le ministre de l'Intérieur Hamed Bakayoko a confirmé la soixantaine de morts sur le plateau du journal de la mi-journée de la RTI 1. M. Bakayoko qui n’a pas donné de détail sur les circonstances de ce drame a annoncé la mise en place d’une cellule de crise au siège de l’office national de la protection civile pour la gestion de la situation, mais aussi d’aider les parents des victimes et personnes encore introuvables après le drame.