ABIDJAN -- Le président de la République populaire de Chine, Hu Jintao, exprime sa "sympathie" et sa "compassion" à son homologue ivoirien Alassane Ouattara suite à la bousculade qui a fait 63 morts et une cinquantaine de blessés à Abidjan à l'occasion du réveillon du nouvel an.
"Au nom du gouvernement et du peuple chinois ainsi qu'au mien propre, je tiens à vous exprimer et, à travers vous, au peuple ivoirien, mes sentiments de sympathie et de compassion", écrit Hu Jintao dans une lettre adressée à M. Ouattara.
Le président chinois qui dit avoir appris la nouvelle avec une "immense tristesse" présente également ses "profondes condoléances" aux victimes.
Une bousculade survenue à la fin d'un spectacle de feux d'artifice organisé par le district d'Abidjan pour le réveillon du nouvel an a occasionné la mort de 63 personnes et fait une cinquantaine de blessés, selon un bilan officiel.
Le président Alassane Ouattara, après une visite sur les lieux du drame et aux blessés, a décrété un deuil national de trois jours qui s'achève vendredi.
Le gouvernement a en outre mis en place une "cellule de crise" pour la prise en charge totale des victimes et promet "dans les 72 heures" les résultats des autopsies des corps ainsi que ceux de l'enquête ouverte pour situer sur les circonstances et les causes du drame.
"Au nom du gouvernement et du peuple chinois ainsi qu'au mien propre, je tiens à vous exprimer et, à travers vous, au peuple ivoirien, mes sentiments de sympathie et de compassion", écrit Hu Jintao dans une lettre adressée à M. Ouattara.
Le président chinois qui dit avoir appris la nouvelle avec une "immense tristesse" présente également ses "profondes condoléances" aux victimes.
Une bousculade survenue à la fin d'un spectacle de feux d'artifice organisé par le district d'Abidjan pour le réveillon du nouvel an a occasionné la mort de 63 personnes et fait une cinquantaine de blessés, selon un bilan officiel.
Le président Alassane Ouattara, après une visite sur les lieux du drame et aux blessés, a décrété un deuil national de trois jours qui s'achève vendredi.
Le gouvernement a en outre mis en place une "cellule de crise" pour la prise en charge totale des victimes et promet "dans les 72 heures" les résultats des autopsies des corps ainsi que ceux de l'enquête ouverte pour situer sur les circonstances et les causes du drame.