Abidjan - Le gouvernement français a engagé depuis jeudi des troupes aux côtés de l’armée malienne pour freiner l’avancée des groupes rebelles islamistes.
Le président François Hollande n’a pas attendu le mot d’ordre de l’ONU pour engager les forces françaises au Mali face à la percée, sans opposition véritable, des groupes Jihadistes qui occupent le nord du Mali depuis plusieurs mois.
Après la prise de la ville de Konna (centre) par les islamistes qui avançaient résolument vers Bamako, la France décidé de sauver le pouvoir constitutionnel en épaulant l’armée mise en déroute dans des combats intenses avec les islamistes.
Des troupes terrestres venant de Dakar et de Ouagadougou sont également en route pour le Mali.
Selon François Hollande, la présence des troupes au Mali durera "le temps que prendra" la reconquête du territoire malien.
Le déploiement des troupes africaines (MISMA) est prévu, selon les autorités de la Cedeao, pour la semaine prochaine.
En attendant, dans une adresse à la nation, le président intérimaire, Dioncounda Traoré, a sonné la mobilisation de tous les maliens et maliennes, pour aider l’armée à défendre l’intégrité du territoire, non sans décréter l’état d’urgence en vigueur depuis vendredi soir.
Le président François Hollande n’a pas attendu le mot d’ordre de l’ONU pour engager les forces françaises au Mali face à la percée, sans opposition véritable, des groupes Jihadistes qui occupent le nord du Mali depuis plusieurs mois.
Après la prise de la ville de Konna (centre) par les islamistes qui avançaient résolument vers Bamako, la France décidé de sauver le pouvoir constitutionnel en épaulant l’armée mise en déroute dans des combats intenses avec les islamistes.
Des troupes terrestres venant de Dakar et de Ouagadougou sont également en route pour le Mali.
Selon François Hollande, la présence des troupes au Mali durera "le temps que prendra" la reconquête du territoire malien.
Le déploiement des troupes africaines (MISMA) est prévu, selon les autorités de la Cedeao, pour la semaine prochaine.
En attendant, dans une adresse à la nation, le président intérimaire, Dioncounda Traoré, a sonné la mobilisation de tous les maliens et maliennes, pour aider l’armée à défendre l’intégrité du territoire, non sans décréter l’état d’urgence en vigueur depuis vendredi soir.