Une colonne d'une trentaine d'engins militaires français, escortée par un hélicoptère, a traversé le poste frontière ivoirien de Pôgô pour gagner le Mali, où la France mène depuis vendredi une intervention contre les islamistes armés, a-t-on appris lundi de sources concordantes.
"Une colonne d'une trentaine de chars et de véhicules de transport de troupes a stationné dimanche à Ferkessédougou, avant de prendre lundi la direction de la frontière escortée par un hélicoptère", a affirmé à l'AFP un journaliste local."Cette colonne est venue d'Abidjan et était applaudie par une foule immense dans les villes et villages qu'elle a traversés jusqu'à la frontière", a assuré un habitant. La force française "Licorne" déployée en Côte d'Ivoire depuis septembre 2002, compte actuellement 450 hommes. Depuis cinq ans, la principale mission de Licorne est de soutenir la Force de l'ONU en Côte d'Ivoire (Onuci)."Licorne" peut être ponctuellement soutenue par un bâtiment de la marine
nationale française, déployé dans le Golfe de Guinée dans le cadre de
l'opération Corymbe. Avec le déclenchement des hostilités contre les islamistes dans le nord du Mali, les populations sont entre crainte et espoir.
G.T
"Une colonne d'une trentaine de chars et de véhicules de transport de troupes a stationné dimanche à Ferkessédougou, avant de prendre lundi la direction de la frontière escortée par un hélicoptère", a affirmé à l'AFP un journaliste local."Cette colonne est venue d'Abidjan et était applaudie par une foule immense dans les villes et villages qu'elle a traversés jusqu'à la frontière", a assuré un habitant. La force française "Licorne" déployée en Côte d'Ivoire depuis septembre 2002, compte actuellement 450 hommes. Depuis cinq ans, la principale mission de Licorne est de soutenir la Force de l'ONU en Côte d'Ivoire (Onuci)."Licorne" peut être ponctuellement soutenue par un bâtiment de la marine
nationale française, déployé dans le Golfe de Guinée dans le cadre de
l'opération Corymbe. Avec le déclenchement des hostilités contre les islamistes dans le nord du Mali, les populations sont entre crainte et espoir.
G.T