A ce stade, 750 militaires français sont engagés dans l’opération. Ce chiffre sera porté à 2 500. Une colonne d’une quarantaine de véhicules blindés français venus de Côte-d’Ivoire est arrivée dans la nuit de lundi à mardi à Bamako. Les Forces spéciales ont également été engagées. La défense ne communique pas sur leur nombre.
Côté aérien, le nombre d’avions de combat basé à N’Djamena dans le cadre du détachement Epervier a été porté à huit : deux Mirage F1CR et six Mirage 2000D. Trois avions ravitailleurs C135 sont également mobilisés, en plus des appareils de transport. Des Rafale mis en état d’alerte peuvent intervenir directement depuis la France, comme cela a été le cas dimanche près de Gao, où quatre de ces chasseurs ont détruit des camps d’entraînement et des dépôts logistiques des groupes islamistes armés. Six d’entre eux stationnés à Abou Dhabi sont notamment mobilisables. Enfin, des hélicoptères de combat, notamment des Gazelle équipés de missiles Hot et de canon de 20 mm, ont également été engagés dans la région de Konna.
Côté aérien, le nombre d’avions de combat basé à N’Djamena dans le cadre du détachement Epervier a été porté à huit : deux Mirage F1CR et six Mirage 2000D. Trois avions ravitailleurs C135 sont également mobilisés, en plus des appareils de transport. Des Rafale mis en état d’alerte peuvent intervenir directement depuis la France, comme cela a été le cas dimanche près de Gao, où quatre de ces chasseurs ont détruit des camps d’entraînement et des dépôts logistiques des groupes islamistes armés. Six d’entre eux stationnés à Abou Dhabi sont notamment mobilisables. Enfin, des hélicoptères de combat, notamment des Gazelle équipés de missiles Hot et de canon de 20 mm, ont également été engagés dans la région de Konna.