L’Algérie est entrée en guerre contre les terroristes. En soutien à l’opération Serval lancée par la France, l’Algérie a autorisé le survol de son espace aérien pour permettre aux forces françaises de frapper les positions des djihadistes. Cela n’a pas été du goût des terroristes qui, en représailles, ont pris des otages originaires de plusieurs pays, notamment le Japon, la France, la Grande-Bretagne, la Norvège, qui reste sans nouvelles de ses neuf ressortissants. La réponse ne s’est pas fait attendre. Depuis hier, l’armée algérienne a lancé l’assaut contre le site gazier d'In Amenas, dans le centre-est de l'Algérie, où des centaines de travailleurs algériens et une quarantaine d'étrangers ont été pris en otages mercredi, par un groupe lié à Al-Qaïda. Lors de cette opération, l'armée a libéré 600 otages algériens et quatre étrangers, selon l'agence nationale algérienne APS. Un porte-parole du groupe auteur du rapt avait indiqué hier en fin d'après-midi, à l'agence mauritanienne Nouakchott information (ANI) que 34 otages étrangers, détenus sur le complexe, avaient été tués dans l'opération de l'armée et que sept autres étaient encore en vie. Des gens qui utilisent le principe du respect sacré de la vie, le refus des pays démocratiques de voir et laisser un seul citoyen mourir pour semer la torture dans les familles, tenter de faire chanter toute une Nation. Dans un tel contexte, la peur de la prise d’otages, le souci de préserver la vie ne doivent plus être un frein. La crainte des représailles ne doit plus pousser à l’inaction, d’autant plus que le terrorisme, la prise d’otages se nourrissent de l’inaction, de la lâcheté, des négociations, du paiement de rançons.
Davantage de fermeté sont nécessaires
Le risque d’attentat terroriste ne sera pas forcément multiplié par 2 ou par 10 pour cela, mais avec les actions de l’Algérie et de la France en Somalie, les preneurs d’otages doivent comprendre que le combat est désormais direct et frontal et que les gouvernants, même les plus démocratiques ne poussent pas les exigences du dialogue et de la préservation de la vie des otages à transférer et payer des rançons pour continuer d’alimenter le terrorisme. «Il n’y aura ni négociation, ni chantage, ni répit dans la lutte contre le terrorisme». Cette fermeté affichée par le ministre algérien de la Communication doit faire tâche d’huile pour que les terroristes sachent qu’ils ne peuvent pas continuer à faire du chantage et imposer leur diktat à tout le monde.
C. K
Davantage de fermeté sont nécessaires
Le risque d’attentat terroriste ne sera pas forcément multiplié par 2 ou par 10 pour cela, mais avec les actions de l’Algérie et de la France en Somalie, les preneurs d’otages doivent comprendre que le combat est désormais direct et frontal et que les gouvernants, même les plus démocratiques ne poussent pas les exigences du dialogue et de la préservation de la vie des otages à transférer et payer des rançons pour continuer d’alimenter le terrorisme. «Il n’y aura ni négociation, ni chantage, ni répit dans la lutte contre le terrorisme». Cette fermeté affichée par le ministre algérien de la Communication doit faire tâche d’huile pour que les terroristes sachent qu’ils ne peuvent pas continuer à faire du chantage et imposer leur diktat à tout le monde.
C. K