La Coordination des syndicats des fonctionnaires de Côte d’Ivoire (Cosyfoci), après 72 heures de grève, du lundi 21 au mercredi 23 janvier 2013, par la voix de son président, Tapé Djédjé Appolinaire, joint par téléphone, le jeudi 24 janvier 2013, a indiqué que les différentes structures qui ont participé au mouvement feront le point à leurs membres. « Le conseil des ministres de mercredi a mis en place un comité interministériel composé des quatorze ministères touchés, pour plancher sur nos revendications. Pour nous, c’est une avancée. Nous mettons donc en veilleuse l’assemblée générale qui était prévue pour se tenir, juste après les 72heures de grève afin de décider de la suite à donner au mouvement. Nous attendons que le fruit des réflexions dudit comité aillent dans le sens de ce que nous souhaitons et qui a occasionné la grève », a-t-il laissé entendre.
A l’en croire, l’essentiel, c’est de trouver des solutions à leurs préoccupations. « Nous leur laissons un peu de temps avant de tenir notre assemblée générale », a ajouté Tapé Djédjé Appolinaire. Soulignons que les fonctionnaires grévistes attendent du comité interministériel qu’il décide de l’application de 150 points d’indice à leur profit, soit une augmentation du salaire de base de trente quatre mille neuf cent six (34.906) francs Cfa, à compter de la fin de ce mois de janvier, pour ceux qui ne bénéficient d’aucune grille salariale particulière. Ils exigent également une allocation familiale qui passe de deux mille cinq cents (2 500) à dix mille (10 000) francs Cfa par enfant, ainsi qu’une indemnité de transport de sept mille (7000) à vingt cinq mille (25 000) francs Cfa.
Dominique FADEGNON
A l’en croire, l’essentiel, c’est de trouver des solutions à leurs préoccupations. « Nous leur laissons un peu de temps avant de tenir notre assemblée générale », a ajouté Tapé Djédjé Appolinaire. Soulignons que les fonctionnaires grévistes attendent du comité interministériel qu’il décide de l’application de 150 points d’indice à leur profit, soit une augmentation du salaire de base de trente quatre mille neuf cent six (34.906) francs Cfa, à compter de la fin de ce mois de janvier, pour ceux qui ne bénéficient d’aucune grille salariale particulière. Ils exigent également une allocation familiale qui passe de deux mille cinq cents (2 500) à dix mille (10 000) francs Cfa par enfant, ainsi qu’une indemnité de transport de sept mille (7000) à vingt cinq mille (25 000) francs Cfa.
Dominique FADEGNON