Gagnoa – Une équipe du Centre national de recherche agronomique (CNRA) et de l’organisation africaine du riz, AfricaRice, a séjourné de lundi à samedi à Gagnoa avec des enquêteurs, enfin de les former à l’automatisation des recueils des données d’enquêtes rizicoles auprès des populations villageoises et des autres acteurs de la filière du riz.
« Automatiser l’enregistrement des données d’enquête grâce à l’utilisation de Smartphones » est selon le coordonnateur du projet, l’objectif principal visé par le CNRA et AfricaRice en initiant cette formation à l’adresse des enquêteurs contractuels qu’ils ont sollicités pour mener sur le terrain les enquêtes et la collecte des données dans la zone rizicole de Gagnoa.
Le chercheur du CNRA, Doumbia Sékou, coordonnateur du projet ‘’Politique rizicole’’, financé par AfrcaRice, a souligné que cette innovation technologique dans le recueil des données permet d’éviter l’étape d’utilisation du papier par les enquêteurs en apportant deux améliorations majeures, dans la durée de l’enquête et de son coût.
Les formateurs d'AfricaRice et l’équipe du CNRA se sont rendus dans deux villages de la sous-préfecture de Gagnoa avec les trois principaux enquêteurs retenus, afin de les initier à l’utilisation du matériel en milieu paysans.
A la pratique, des séries de questions orales préalablement enregistrées dans des langues locales et intégrées dans un logiciel du Smartphone sont posées aux planteurs de riz qui y répondent pendant que les informations fournies sont enregistrées par les enquêteurs au même instant dans leurs appareils et déversées en même temps à distance dans la base de données du serveur du siège d’AfrcaRice.
Avec cette méthode, ont confiés les experts d’AfricaRice, les contraintes de temps d’enquête qui s’allonge et d’erreurs dans la saisie des données sont considérablement minimisées.
Cette enquête va permettre l’analyse de la chaîne des valeurs du riz, en partant des planteurs aux consommateurs et en passant par les transformateurs et les vendeurs, afin d’avoir toutes les informations indispensables sur la filière du riz en Côte d’Ivoire, dans le but d’améliorer la politique rizicole pour réaliser l’autosuffisance en la matière.
AfricaRice, en partenariat avec les pays membres de cette organisation, Côte d’Ivoire, Sénégal, Mali, Niger, Cameroun, Bénin, Togo et Madagascar, s'est engagée depuis quelques années à l'amélioration de la qualité des statistiques rizicoles au niveau de ces pays.
« Automatiser l’enregistrement des données d’enquête grâce à l’utilisation de Smartphones » est selon le coordonnateur du projet, l’objectif principal visé par le CNRA et AfricaRice en initiant cette formation à l’adresse des enquêteurs contractuels qu’ils ont sollicités pour mener sur le terrain les enquêtes et la collecte des données dans la zone rizicole de Gagnoa.
Le chercheur du CNRA, Doumbia Sékou, coordonnateur du projet ‘’Politique rizicole’’, financé par AfrcaRice, a souligné que cette innovation technologique dans le recueil des données permet d’éviter l’étape d’utilisation du papier par les enquêteurs en apportant deux améliorations majeures, dans la durée de l’enquête et de son coût.
Les formateurs d'AfricaRice et l’équipe du CNRA se sont rendus dans deux villages de la sous-préfecture de Gagnoa avec les trois principaux enquêteurs retenus, afin de les initier à l’utilisation du matériel en milieu paysans.
A la pratique, des séries de questions orales préalablement enregistrées dans des langues locales et intégrées dans un logiciel du Smartphone sont posées aux planteurs de riz qui y répondent pendant que les informations fournies sont enregistrées par les enquêteurs au même instant dans leurs appareils et déversées en même temps à distance dans la base de données du serveur du siège d’AfrcaRice.
Avec cette méthode, ont confiés les experts d’AfricaRice, les contraintes de temps d’enquête qui s’allonge et d’erreurs dans la saisie des données sont considérablement minimisées.
Cette enquête va permettre l’analyse de la chaîne des valeurs du riz, en partant des planteurs aux consommateurs et en passant par les transformateurs et les vendeurs, afin d’avoir toutes les informations indispensables sur la filière du riz en Côte d’Ivoire, dans le but d’améliorer la politique rizicole pour réaliser l’autosuffisance en la matière.
AfricaRice, en partenariat avec les pays membres de cette organisation, Côte d’Ivoire, Sénégal, Mali, Niger, Cameroun, Bénin, Togo et Madagascar, s'est engagée depuis quelques années à l'amélioration de la qualité des statistiques rizicoles au niveau de ces pays.