Gagnoa – L’investiture, dimanche, du bureau de la coopérative agricole des femmes du village de Kobouo (Gagnoa) a été l’occasion pour le parrain, Djédjé Bagnon Joachim, de satisfaire aux deux doléances de ses filleules, à savoir l’octroi d’une broyeuse de manioc et une somme de 200 000 FCFA pour l’ouverture d’un compte bancaire.
La Coopérative agricole espoir de Kobouo Balué qui vient d’être créée compte plus de 100 membres, composées de femmes autochtones Bété, d’allochtones Sénoufo, Malinké et Baoulé, ainsi que d’allogènes Burkinabé et Maliennes. Elles ont créé des plantations de vivriers et ambitionnent de faire en grande quantité le manioc pour le broyer et vendre sur place les différents sous-produits qui en découlent.
Aussi, le parrain a-t-il profité de l’occasion pour louer l’esprit d’ouverture des femmes Bété qui, autour d’un projet de développement économique, ont su associer celles des communautés ivoiriennes et étrangères vivant avec elles, afin de travailler ensemble.
« Vous avez pris sur vous de faire une coopérative qui n’a pas de coloration ethnique, je voudrais vous féliciter et vous dire merci », a déclaré l’opérateur économique Djédjé Bagnon quia également félicité les hommes de Kobouo pour avoir permis et encouragé leurs femmes à travailler avec leurs "sœurs" venues d’ailleurs.
La présidente de la Coopérative, Mme Dagbo Elodie a pour sa part précisé que leur choix porté sur Djédjé Bagnon se fonde sur sa réputation d’homme ouvert et disponible. « Votre particularité nous a séduite parce que vous ne vous appuyez pas sur les appartenances ethniques pour apporter votre soutien aux autres », a-t-elle déclaré.
Le village de Kobouo, distant d’une quarantaine de kilomètres de Gagnoa, compte quelque 3.000. C’est un bourg enclavé à cause du manque de routes praticables, a constaté l’AIP.
La Coopérative agricole espoir de Kobouo Balué qui vient d’être créée compte plus de 100 membres, composées de femmes autochtones Bété, d’allochtones Sénoufo, Malinké et Baoulé, ainsi que d’allogènes Burkinabé et Maliennes. Elles ont créé des plantations de vivriers et ambitionnent de faire en grande quantité le manioc pour le broyer et vendre sur place les différents sous-produits qui en découlent.
Aussi, le parrain a-t-il profité de l’occasion pour louer l’esprit d’ouverture des femmes Bété qui, autour d’un projet de développement économique, ont su associer celles des communautés ivoiriennes et étrangères vivant avec elles, afin de travailler ensemble.
« Vous avez pris sur vous de faire une coopérative qui n’a pas de coloration ethnique, je voudrais vous féliciter et vous dire merci », a déclaré l’opérateur économique Djédjé Bagnon quia également félicité les hommes de Kobouo pour avoir permis et encouragé leurs femmes à travailler avec leurs "sœurs" venues d’ailleurs.
La présidente de la Coopérative, Mme Dagbo Elodie a pour sa part précisé que leur choix porté sur Djédjé Bagnon se fonde sur sa réputation d’homme ouvert et disponible. « Votre particularité nous a séduite parce que vous ne vous appuyez pas sur les appartenances ethniques pour apporter votre soutien aux autres », a-t-elle déclaré.
Le village de Kobouo, distant d’une quarantaine de kilomètres de Gagnoa, compte quelque 3.000. C’est un bourg enclavé à cause du manque de routes praticables, a constaté l’AIP.