Gagnoa - La direction générale du Budget et des Finances (DGBF) forme, depuis lundi à Ouragahio, 43 acteurs du circuit des dépenses publiques des sous-préfectures de Ouragahio et de Bayota à la maîtrise de l’utilisation du système intégré de gestion des finances publiques (SIGFIP).
Selon les participants, l’ensemble des opérations budgétaires qui se faisait manuellement, les obligeait à effectuer parfois des déplacements jusqu’à Abidjan.
"Avec l’avènement des nouvelles technologies de l’information et de la communication sur lesquelles le SIGFIP prend appui, ce nouvel outil de gestion budgétaire, permet de faire l’exécution des dépenses publiques partout de manière sereine et idoine, en permettant une lisibilité et un suivi des opérations en temps réel depuis le réseau central à Abidjan", a expliqué le sous-directeur des Services centraux de la DGBF, Akpa Adou Jean Serges.
Selon lui, le SIGFIP assure une meilleure traçabilité des dépenses, permet à tout instant d’avoir le niveau réel des engagements de l’Etat et contribue à renforcer la maîtrise des dépenses publiques, le suivi instantané des diverses phases de l’exécution des dépenses publiques, la régulation budgétaire des opérations de dépenses, etc.
Cette formation est destinée aux ordonnateurs délégués (sous-préfets), les chefs de services administratifs, le contrôleur financier et le trésorier départemental de Ouragahio et de Bayota.
Le représentant du préfet de région, Blé Pépé Joseph, a invité les acteurs techniques du SIGFIP à suivre avec assiduité cette formation, afin de contribuer, avec cet instrument de bonne gouvernance, à l’atteinte de l’objectif d’une "Côte d’Ivoire émergente à l’horizon 2020", fixé par le président Alassane Ouattara.
La déconcentration du SIGFIP a commencé avec l’opération test en 2002 à Yamoussoukro. Elle a déjà permis la connexion de 60 localités. Cette année, cinq nouvelles localités dont Ouragahio-Bayota seront connectées à ce réseau.
Selon les participants, l’ensemble des opérations budgétaires qui se faisait manuellement, les obligeait à effectuer parfois des déplacements jusqu’à Abidjan.
"Avec l’avènement des nouvelles technologies de l’information et de la communication sur lesquelles le SIGFIP prend appui, ce nouvel outil de gestion budgétaire, permet de faire l’exécution des dépenses publiques partout de manière sereine et idoine, en permettant une lisibilité et un suivi des opérations en temps réel depuis le réseau central à Abidjan", a expliqué le sous-directeur des Services centraux de la DGBF, Akpa Adou Jean Serges.
Selon lui, le SIGFIP assure une meilleure traçabilité des dépenses, permet à tout instant d’avoir le niveau réel des engagements de l’Etat et contribue à renforcer la maîtrise des dépenses publiques, le suivi instantané des diverses phases de l’exécution des dépenses publiques, la régulation budgétaire des opérations de dépenses, etc.
Cette formation est destinée aux ordonnateurs délégués (sous-préfets), les chefs de services administratifs, le contrôleur financier et le trésorier départemental de Ouragahio et de Bayota.
Le représentant du préfet de région, Blé Pépé Joseph, a invité les acteurs techniques du SIGFIP à suivre avec assiduité cette formation, afin de contribuer, avec cet instrument de bonne gouvernance, à l’atteinte de l’objectif d’une "Côte d’Ivoire émergente à l’horizon 2020", fixé par le président Alassane Ouattara.
La déconcentration du SIGFIP a commencé avec l’opération test en 2002 à Yamoussoukro. Elle a déjà permis la connexion de 60 localités. Cette année, cinq nouvelles localités dont Ouragahio-Bayota seront connectées à ce réseau.