A peine le Gouvernement a-t-il conclu qu’il faut une réflexion que des esprits malins ont vite franchi un autre pas. Celui de nourrir une volonté de voir Alain Lobognon casser du Sidy et s’installer à la maison de verre. Non ce n’est pas de cela qu’il s’agit. Même si c’est le dessein de certaines personnes accrochées au cabinet du premier responsable du sport ivoirien, il est question ici que la tutelle et la fédération analysent ensemble ce qui peut être fait pour “améliorer” les performances de notre équipe nationale. Alain Lobognon n’a pas l’intention, nous l’espérons, de suivre les mauvais exemples togolais ou encore béninois, ou les ministères ont voulu gérer le football à la place des fédérations élues.
La suite, tout le monde la connaît et tous ces ministères qui ont ignoré leur véritable place ou mission en ont eu pour leur grade d’humiliation. Le ministre des Sports de Côte d’Ivoire doit appuyer et assister la FIF dans sa quête noble et légitime de redonner un nouveau visage à notre équipe nationale. Le travail déjà abattu par l’équipe de Sidy Diallo pour le football local est déjà énorme. L’augmentation des subventions allouées aux clubs, l’assurance maladie pour tous les acteurs, l’avènement de la télévision, la relance du football de jeunes, le développement du football féminin... sont autant d’acquis dont tout ministre des Sports peut être fier. Il est vrai que de gros corbeaux noirs rodent autour de la Tour B, mais il appartiendra au premier responsable du sport ivoirien de ne pas se tromper de combat et ou d’adversaire. Le combat ici, c’est le bien être de l’équipe nationale. Pour le gagner, il doit travailler de concert avec la fédération mandatée par les clubs. L’adversaire, ce sont tous ceux, tapis dans l’ombre, pour des raisons personnelles et des desseins inavoués, tirent les ficelles de la division et du chaos.
K L
La suite, tout le monde la connaît et tous ces ministères qui ont ignoré leur véritable place ou mission en ont eu pour leur grade d’humiliation. Le ministre des Sports de Côte d’Ivoire doit appuyer et assister la FIF dans sa quête noble et légitime de redonner un nouveau visage à notre équipe nationale. Le travail déjà abattu par l’équipe de Sidy Diallo pour le football local est déjà énorme. L’augmentation des subventions allouées aux clubs, l’assurance maladie pour tous les acteurs, l’avènement de la télévision, la relance du football de jeunes, le développement du football féminin... sont autant d’acquis dont tout ministre des Sports peut être fier. Il est vrai que de gros corbeaux noirs rodent autour de la Tour B, mais il appartiendra au premier responsable du sport ivoirien de ne pas se tromper de combat et ou d’adversaire. Le combat ici, c’est le bien être de l’équipe nationale. Pour le gagner, il doit travailler de concert avec la fédération mandatée par les clubs. L’adversaire, ce sont tous ceux, tapis dans l’ombre, pour des raisons personnelles et des desseins inavoués, tirent les ficelles de la division et du chaos.
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