Après une tournée à l’intérieur du pays pour s’en quérir des conditions de vie des douaniers, le secrétaire général du SYCONADCI a animé hier, le 27 Février 2013, à son siège au Plateau, un point de presse. Au cours de cette rencontre, il s’est prononcé sur l’assurance maladie et bien d’autres sujets.
La couverture médicale des douaniers continue de faire couler encres et salives. Après le SDDDCI (Syndicat pour la Défense des Droits des Douaniers de Côte d’Ivoire) qui avait décidé d’entrer en grève à la suite des nouvelles décisions de la SONARCI, d’instaurer un ticket modérateur de 20%, le SYCONADCI a choisi de recueillir le maximum de complaintes de la part des soldats de l’ ‘’’Economie’’ avant toute réaction. C’est ce qu’a annoncé son secrétaire général. « Pour la question de l’assurance maladie, le collectif a mis en place un secrétariat permanent. Bientôt, nous allons nous saisir du dossier parce que nos militants qui nous ont hué hier, sont en train de comprendre », a-t-il dit. Pour Serey Doh, la santé du douanier doit être au cœur de l’action sociale de cette régie financière. Il n’est donc pas bien, à l’en croire que des structures syndicales jouent avec la santé des douaniers. « C’est méchant de jouer avec la santé de ses collègues », a-t-il regretté. Revenant sur sa tournée à l’intérieur, Serey Doh a fait savoir que cette visite avait pour objet de montrer que le SYCONADCI est proche des douaniers. «Après la crise, la douane a été pillée tant à l’intérieur qu’en Abidjan. Il fallait partir voir comment les douaniers affectés dans ces zones exercent et dans quelles conditions, ils travaillent. C’est aussi, l’une des missions du syndicat», a-t-il indiqué. Pour lui, au regard des objectifs de résultats assignés à la douane chaque année, il convient que les soldats de l’économie aient les infrastructures requises pour accomplir leur mission. Serey Doh, qui se réjouit d’avoir plus de 600 adhérents sur les 2000 douaniers que compte la Côte d’Ivoire, s’est aussi prononcé sur la couverture médicale. «Aujourd’hui l’histoire rattrape ceux qui ont signé le nouveau contrat d’assurance maladie. Le collectif des syndicats en douanes, regroupant six formations syndicales, n’a pas opéré de choix», a-t-il rappelé.
K. Hyacinthe
La couverture médicale des douaniers continue de faire couler encres et salives. Après le SDDDCI (Syndicat pour la Défense des Droits des Douaniers de Côte d’Ivoire) qui avait décidé d’entrer en grève à la suite des nouvelles décisions de la SONARCI, d’instaurer un ticket modérateur de 20%, le SYCONADCI a choisi de recueillir le maximum de complaintes de la part des soldats de l’ ‘’’Economie’’ avant toute réaction. C’est ce qu’a annoncé son secrétaire général. « Pour la question de l’assurance maladie, le collectif a mis en place un secrétariat permanent. Bientôt, nous allons nous saisir du dossier parce que nos militants qui nous ont hué hier, sont en train de comprendre », a-t-il dit. Pour Serey Doh, la santé du douanier doit être au cœur de l’action sociale de cette régie financière. Il n’est donc pas bien, à l’en croire que des structures syndicales jouent avec la santé des douaniers. « C’est méchant de jouer avec la santé de ses collègues », a-t-il regretté. Revenant sur sa tournée à l’intérieur, Serey Doh a fait savoir que cette visite avait pour objet de montrer que le SYCONADCI est proche des douaniers. «Après la crise, la douane a été pillée tant à l’intérieur qu’en Abidjan. Il fallait partir voir comment les douaniers affectés dans ces zones exercent et dans quelles conditions, ils travaillent. C’est aussi, l’une des missions du syndicat», a-t-il indiqué. Pour lui, au regard des objectifs de résultats assignés à la douane chaque année, il convient que les soldats de l’économie aient les infrastructures requises pour accomplir leur mission. Serey Doh, qui se réjouit d’avoir plus de 600 adhérents sur les 2000 douaniers que compte la Côte d’Ivoire, s’est aussi prononcé sur la couverture médicale. «Aujourd’hui l’histoire rattrape ceux qui ont signé le nouveau contrat d’assurance maladie. Le collectif des syndicats en douanes, regroupant six formations syndicales, n’a pas opéré de choix», a-t-il rappelé.
K. Hyacinthe
