Divo (AIP) - Une délégation de la commission d’enquête et d’audition de la Commission dialogue, vérité et réconciliation (CDVR) qui animait une séance d’information vendredi à Divo a annoncé le démarrage, très bientôt, de ses travaux dans la région du Lôh-Djiboua.
Les membres de cette délégation, comprenant les coordonateurs de la CDVR des régions de la Marahoué, du Hambol, du Gôh et du Lôh-Djiboua, ont appelé les populations de Divo et de toute la région à se mobiliser pour contribuer à la réussite de cette mission destinée à faire la lumière sur les graves violations des droits de l’homme, ses auteurs et les victimes.
« Il s’agira de savoir qui a fait quoi à qui et quand afin d’établir la liste des victimes pour qu’elles soient indemnisées », a fait savoir le chef de délégation, Brou Kouamé, coordonateur CDVR pour la région de la Marahoué. Ce dernier a rassuré les victimes d’actes de violence sur le sérieux de cette « phase essentielle » du processus de réconciliation nationale.
Les chefs de villages, les organisations de la société civile et les médias (radios locales) ont été chargés de relayer abondamment cette information auprès des populations afin de susciter une plus grande mobilisation de leur part autour de cette activité de la CDVR.
rkk/cmas
Les membres de cette délégation, comprenant les coordonateurs de la CDVR des régions de la Marahoué, du Hambol, du Gôh et du Lôh-Djiboua, ont appelé les populations de Divo et de toute la région à se mobiliser pour contribuer à la réussite de cette mission destinée à faire la lumière sur les graves violations des droits de l’homme, ses auteurs et les victimes.
« Il s’agira de savoir qui a fait quoi à qui et quand afin d’établir la liste des victimes pour qu’elles soient indemnisées », a fait savoir le chef de délégation, Brou Kouamé, coordonateur CDVR pour la région de la Marahoué. Ce dernier a rassuré les victimes d’actes de violence sur le sérieux de cette « phase essentielle » du processus de réconciliation nationale.
Les chefs de villages, les organisations de la société civile et les médias (radios locales) ont été chargés de relayer abondamment cette information auprès des populations afin de susciter une plus grande mobilisation de leur part autour de cette activité de la CDVR.
rkk/cmas