L’équipage Fané Bakary-Fané Moussa a enlevé hier, à Yamoussoukro, l’édition 2013 du rallye Côte d’Ivoire-Bandama.
Pour le retour du rallye Côte d’Ivoire-Bandama au championnat d’Afrique des rallyes, l’honneur est revenu à un vieux briscard d’inscrire à nouveau son nom au palmarès des vainqueurs : Fané Bakary. Troisième en 2012, lors du Bandama test à Yamoussoukro, Fané Bakary et son copilote, son fils Fané Bakary, ont profité de la malchance des favoris pour terminer en tête de la course. Ils ont bouclé les 441,82km dont 228,21km de secteurs compétitifs en 2h 17min 27s. «Je suis heureux et je félicite tous ceux qui m’ont permis de réaliser ce sacré coup. Le fait que le Bandama soit à nouveau au championnat d’Afrique me comble de joie !», fera savoir Fané Bakary. L’équipage Ligonnet Kévin-David Israël sur une Subaru Impreza pointe à la seconde place, avec un chrono de 2h17min50s, soit un retard de 23secondes sur le vainqueur de la première manche du championnat d’Afrique des rallyes. Pages Eric et sa copilote Pages Chantal avec un temps de 2h21min31s, occupent le troisième rang avec leur Mitsubishi Evo 10. Neuf équipages ont pris part à la première manche du championnat d’Afrique des rallyes aux côtés de sept équipages engagés pour le championnat national de Côte d’Ivoire. A l’arrivée, six équipages ont pu franchir la ligne d’arrivée, coté championnat d’Afrique et quatre, coté championnat national. Soumaoro Moriféré, vainqueur du Bandama 2012, a été victime d’un tonneau le samedi 2 mars 2013, et contraint à l’abandon. Le vice-champion d’Afrique venu du Rwanda, Davite Giancarlo, a fait les frais du Bandama à quelques minutes de la fin du secteur compétitif. En tête au niveau du classement, il a cassé son moteur et n’avait ses yeux que pour pleurer. Gary Chaynes, le chouchou des amoureux des bolides, a lui aussi, abandonné la course, après avoir cassé son essieu-arrière. Les trois grands favoris ayant été contraints à l’abandon, la voie était toute tracée pour Fané Bakary. «J’ai été toujours prudent. Le plus important pour moi, c’est de terminer la course et de franchir la ligne d’arrivée», précise-t-il. Le directeur général des sports, Sékongo Daouda, a représenté le ministre des Sports et des Loisirs, à la cérémonie de remises des trophées.
Annoncia Sehoué
Pour le retour du rallye Côte d’Ivoire-Bandama au championnat d’Afrique des rallyes, l’honneur est revenu à un vieux briscard d’inscrire à nouveau son nom au palmarès des vainqueurs : Fané Bakary. Troisième en 2012, lors du Bandama test à Yamoussoukro, Fané Bakary et son copilote, son fils Fané Bakary, ont profité de la malchance des favoris pour terminer en tête de la course. Ils ont bouclé les 441,82km dont 228,21km de secteurs compétitifs en 2h 17min 27s. «Je suis heureux et je félicite tous ceux qui m’ont permis de réaliser ce sacré coup. Le fait que le Bandama soit à nouveau au championnat d’Afrique me comble de joie !», fera savoir Fané Bakary. L’équipage Ligonnet Kévin-David Israël sur une Subaru Impreza pointe à la seconde place, avec un chrono de 2h17min50s, soit un retard de 23secondes sur le vainqueur de la première manche du championnat d’Afrique des rallyes. Pages Eric et sa copilote Pages Chantal avec un temps de 2h21min31s, occupent le troisième rang avec leur Mitsubishi Evo 10. Neuf équipages ont pris part à la première manche du championnat d’Afrique des rallyes aux côtés de sept équipages engagés pour le championnat national de Côte d’Ivoire. A l’arrivée, six équipages ont pu franchir la ligne d’arrivée, coté championnat d’Afrique et quatre, coté championnat national. Soumaoro Moriféré, vainqueur du Bandama 2012, a été victime d’un tonneau le samedi 2 mars 2013, et contraint à l’abandon. Le vice-champion d’Afrique venu du Rwanda, Davite Giancarlo, a fait les frais du Bandama à quelques minutes de la fin du secteur compétitif. En tête au niveau du classement, il a cassé son moteur et n’avait ses yeux que pour pleurer. Gary Chaynes, le chouchou des amoureux des bolides, a lui aussi, abandonné la course, après avoir cassé son essieu-arrière. Les trois grands favoris ayant été contraints à l’abandon, la voie était toute tracée pour Fané Bakary. «J’ai été toujours prudent. Le plus important pour moi, c’est de terminer la course et de franchir la ligne d’arrivée», précise-t-il. Le directeur général des sports, Sékongo Daouda, a représenté le ministre des Sports et des Loisirs, à la cérémonie de remises des trophées.
Annoncia Sehoué