Le ministre ivoirien de l'Environnement Rémi Alla Kouadio a exprimé lundi dernier à Abidjan l'engagement des autorités à développer l'économie verte pour résorber le chômage des jeunes.
Le ministre qui intervenait à l'occasion d'une rencontre des experts a indiqué que les opportunités qu'offre l'économie verte en matière de création d'emplois sont tangibles.
"La transition vers une économie verte contribuera à l’amélioration des conditions de vie des populations", a noté M. Kouadio, se réjouissant des perspectives de réduction de la pauvreté.
Pour celui-ci, la protection de la nature s`inscrit dans la droite ligne de la politique environnementale du pays.
Le ministre ivoirien de l'Environnement a ainsi souligné que la politique des emplois verts, au-delà de son objectif de préservation de l'environnement, vise à placer la question du développement durable au cœur de toutes initiatives de croissance économique.
Dans leurs différents exposés, des experts en environnement, développement durable et énergies renouvelables ont soutenu que l'économie verte, avec "une bonne application", pourrait générer des milliers d'emplois en Côte d'Ivoire.
Plusieurs emplois ont été identifiés par ces experts dans le ramassage, le traitement et la transformation des ordures ménagères, mais également dans le reboisement ou encore dans la création de petites unités de production d'énergie, aussi bien en zones urbaines que rurales.
La montée du taux de chômage en Côte d'Ivoire constitue une préoccupation pour les autorités et les organisations internationales.
Selon le Programme des Nations-Unies pour le développement (Pnud), en l'espace d'une décennie ce taux est passé de 8,9% en 1998 à 13,1% en 2002, puis à 15,7% en 2008.
Les jeunes sont les plus touchés par ce fléau. Les deux tiers de la population active au chômage ont un âge compris entre 15 et 30 ans, quand le taux de chômage global moyen pour les personnes âgées de 15 à 45 ans est estimé à 23%.
Le ministre qui intervenait à l'occasion d'une rencontre des experts a indiqué que les opportunités qu'offre l'économie verte en matière de création d'emplois sont tangibles.
"La transition vers une économie verte contribuera à l’amélioration des conditions de vie des populations", a noté M. Kouadio, se réjouissant des perspectives de réduction de la pauvreté.
Pour celui-ci, la protection de la nature s`inscrit dans la droite ligne de la politique environnementale du pays.
Le ministre ivoirien de l'Environnement a ainsi souligné que la politique des emplois verts, au-delà de son objectif de préservation de l'environnement, vise à placer la question du développement durable au cœur de toutes initiatives de croissance économique.
Dans leurs différents exposés, des experts en environnement, développement durable et énergies renouvelables ont soutenu que l'économie verte, avec "une bonne application", pourrait générer des milliers d'emplois en Côte d'Ivoire.
Plusieurs emplois ont été identifiés par ces experts dans le ramassage, le traitement et la transformation des ordures ménagères, mais également dans le reboisement ou encore dans la création de petites unités de production d'énergie, aussi bien en zones urbaines que rurales.
La montée du taux de chômage en Côte d'Ivoire constitue une préoccupation pour les autorités et les organisations internationales.
Selon le Programme des Nations-Unies pour le développement (Pnud), en l'espace d'une décennie ce taux est passé de 8,9% en 1998 à 13,1% en 2002, puis à 15,7% en 2008.
Les jeunes sont les plus touchés par ce fléau. Les deux tiers de la population active au chômage ont un âge compris entre 15 et 30 ans, quand le taux de chômage global moyen pour les personnes âgées de 15 à 45 ans est estimé à 23%.