Les victimes marocaines de la profonde crise post-électorale qui a secoué la Côte d’Ivoire de décembre 2010 à avril 2011, ont sollicité à la veille de la première visite « historique » du Roi Mohammed VI en Côte d’Ivoire, l’aide des autorités du royaume chérifien afin de faciliter leur réinstallation.
« On attendait la visite de notre Roi avec lequel nous allons communier dans l’allégresse et la joie », a déclaré dans un entretien à APA, le citoyen marocain El Asri El Hadj, employé dans une entreprise en zone industrielle de Yopougon, commune située à l’ouest d’Abidjan, soulignant les problèmes que rencontrent jusqu’ici les victimes des violences post-électorales.
« Il y a des choses à régler ici. Pendant la crise post-électorale, nos maisons ont été pillées, volées », explique M. El Hadj qui habite dans la commune de Yopougon, située à l’ouest d’Abidjan et réputé favorable à l’ex-Chef de l’Etat Laurent Gbagbo.
Selon lui, « cette situation a été portée à la connaissance des autorités marocaines, mais rien n’a été fait encore ».
« C’est une doléance que nous allons soumettre à notre Roi afin qu’il nous aide à nous installer et à nos équiper », ajoute El Asri El Hadj, originaire de la ville marocaine de Fes et titulaire d’une maîtrise.
La crise post-électorale ivoirienne née du refus de l’ancien président Laurent Gbagbo de reconnaitre la victoire de son challenger, Alassane Ouattara, a provoqué au moins 3000 morts.
Au plus fort de cette crise, le royaume chérifien avait dépêché des avions à Abidjan pour le rapatriement de ses ressortissants.
Né le 21 août 1963 à Rabat, Mohammed VI, Roi du Maroc depuis le 30 juillet 1999, une semaine après le décès de son père Hassan II, le 23 juillet 1999, est attendu mardi pour la première fois à Abidjan, pour une visite officielle en Côte d’Ivoire.
« On attendait la visite de notre Roi avec lequel nous allons communier dans l’allégresse et la joie », a déclaré dans un entretien à APA, le citoyen marocain El Asri El Hadj, employé dans une entreprise en zone industrielle de Yopougon, commune située à l’ouest d’Abidjan, soulignant les problèmes que rencontrent jusqu’ici les victimes des violences post-électorales.
« Il y a des choses à régler ici. Pendant la crise post-électorale, nos maisons ont été pillées, volées », explique M. El Hadj qui habite dans la commune de Yopougon, située à l’ouest d’Abidjan et réputé favorable à l’ex-Chef de l’Etat Laurent Gbagbo.
Selon lui, « cette situation a été portée à la connaissance des autorités marocaines, mais rien n’a été fait encore ».
« C’est une doléance que nous allons soumettre à notre Roi afin qu’il nous aide à nous installer et à nos équiper », ajoute El Asri El Hadj, originaire de la ville marocaine de Fes et titulaire d’une maîtrise.
La crise post-électorale ivoirienne née du refus de l’ancien président Laurent Gbagbo de reconnaitre la victoire de son challenger, Alassane Ouattara, a provoqué au moins 3000 morts.
Au plus fort de cette crise, le royaume chérifien avait dépêché des avions à Abidjan pour le rapatriement de ses ressortissants.
Né le 21 août 1963 à Rabat, Mohammed VI, Roi du Maroc depuis le 30 juillet 1999, une semaine après le décès de son père Hassan II, le 23 juillet 1999, est attendu mardi pour la première fois à Abidjan, pour une visite officielle en Côte d’Ivoire.