Grand-Bassam -Les premiers états généraux des organismes nationaux de sécurité sociale se tiennent depuis mardi à Grand-Bassam, en vue de l’harmonisation des bases de travail des structures de prévention, à l’initiative de la Caisse nationale de prévoyance sociale (CNPS) de Côte d’Ivoire et sous l’égide de l’Interafricaine de prévention des risques (IAPRP), en partenariat avec le Bureau international du travail (BIT) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Ces assises qui prennent fin samedi, ont été l’occasion du directeur général de la CNPS Côte d’Ivoire, Bernard N’Doumi, de relever de grandes disparités dans les bases de travail entre les différentes structures de prévention des pays membres de l’IAPRP et une baisse drastique du personnel technique et de sa capacité opérationnelle.
"C’est ce qui motive ces assises qui permettront d’anticiper sur les conséquences fâcheuses pour un repositionnement de ces structures", a-t-il indiqué, se félicitant des actions menées depuis une trentaine d’années par les organismes nationaux de sécurité sociale pour sauvegarder l’intégrité physique, psychique et morale des travailleurs.
Mais ces actions semblent inefficaces, au regard des données OMS/BIT sur les accidents de travail qui sont encore alarmantes.
Les accidents de travail et maladies professionnelles continuent de faire des ravages surtout en Afrique, d’où le cri de cœur du représentant de l’OMS, Dr Yao Théodore qui a affirmé que "la santé en Afrique est en situation d’urgence".
Face à ce tableau encore gris, le directeur de cabinet du ministre d’Etat, ministre de l’Emploi, des Affaires sociales et de la Formation professionnelle, le directeur de M. Aguié Amaffou Germain, a assuré que l’Etat ivoirien, en ce qui le concerne, "est en train d’adopter des dispositions législatives et règlementaires pour une politique nationale et un plan de sécurité et santé au travail améliorés, surtout dans les domaines agricole, de petites entreprises, de la fonction publique et de l’économie informelle".
Ces assises qui se déroulent à N’Sah Hôtel de Grand-Bassam regroupent 16 délégations des pays membres de l’IAPRP et des pays non membres invités.
(AIP)
Ko/kp
Ces assises qui prennent fin samedi, ont été l’occasion du directeur général de la CNPS Côte d’Ivoire, Bernard N’Doumi, de relever de grandes disparités dans les bases de travail entre les différentes structures de prévention des pays membres de l’IAPRP et une baisse drastique du personnel technique et de sa capacité opérationnelle.
"C’est ce qui motive ces assises qui permettront d’anticiper sur les conséquences fâcheuses pour un repositionnement de ces structures", a-t-il indiqué, se félicitant des actions menées depuis une trentaine d’années par les organismes nationaux de sécurité sociale pour sauvegarder l’intégrité physique, psychique et morale des travailleurs.
Mais ces actions semblent inefficaces, au regard des données OMS/BIT sur les accidents de travail qui sont encore alarmantes.
Les accidents de travail et maladies professionnelles continuent de faire des ravages surtout en Afrique, d’où le cri de cœur du représentant de l’OMS, Dr Yao Théodore qui a affirmé que "la santé en Afrique est en situation d’urgence".
Face à ce tableau encore gris, le directeur de cabinet du ministre d’Etat, ministre de l’Emploi, des Affaires sociales et de la Formation professionnelle, le directeur de M. Aguié Amaffou Germain, a assuré que l’Etat ivoirien, en ce qui le concerne, "est en train d’adopter des dispositions législatives et règlementaires pour une politique nationale et un plan de sécurité et santé au travail améliorés, surtout dans les domaines agricole, de petites entreprises, de la fonction publique et de l’économie informelle".
Ces assises qui se déroulent à N’Sah Hôtel de Grand-Bassam regroupent 16 délégations des pays membres de l’IAPRP et des pays non membres invités.
(AIP)
Ko/kp