JOHANNESBURG - Le 5e sommet des BRICS qui a lieu les 26 et 27 mars à Durban en Afrique du Sud offre l’occasion de construire une coopération plus solide entre l’Afrique et les BRICS, a indiqué Maite Nkoana-Mashabane, la ministre sud-africaine des Relations internationales et de la Coopération.
L’adhésion de l’Afrique du Sud au groupe BRICS atteste du grand potentiel de ce pays, a-t-elle également souligné lors d’une récente interview.
En tant que membre africain des BRICS, l’Afrique du Sud peut jouer un rôle spécial pour que la coopération des BRICS vienne soutenir le développement de l’Afrique, a-t-elle ajouté.
L’Afrique du Sud accueille le sommet à Durban les 26 et 27 mars. Pour la première fois, des dirigeants africains participeront à la rencontre, placée cette année sous le thème "BRICS et Afrique : partenariat pour le développement, l’intégration et l’industrialisation".
"Cela nous donnera l’occasion de renforcer les piliers sur lesquels repose le fonctionnement de l’Afrique du Sud", a indiqué la ministre, ajoutant que l’Afrique du Sud, dotée de la plus grande économie du continent, profiterait de ce sommet pour montrer ce qu’elle peut à offrir en matière de commerce.
Le pays, a-t-elle fait remarquer, tirera profit de ses énormes ressources minières, d’une valeur totale de plus de 2 500 milliards de dollars, pour renforcer la coopération économique avec d’autres membres des BRICS.
Le président Jacob Zuma, avec d’autres dirigeants africains, prône depuis longtemps la construction d’infrastructures pour que le continent puisse renforcer ses capacités de transport et ainsi favoriser les échanges commerciaux entre les pays africains, a-t-elle souligné par ailleurs.
Ces dernières années, les BRICS et l’Afrique ont intensifié leur engagements commerciaux et stratégiques. Selon la Standard Bank of South Africa, le volume des échanges commerciaux entre les BRICS et l’Afrique devrait passer de 150 milliards de dollars en 2010 à 530 milliards de dollars en 2015.
Le groupe BRICS, qui rassemble le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud, représentent 42% de la population de la planète, 20% du PIB mondial et 15% du volume des échanges commerciaux internationaux.
Par Thuso Khumalo
L’adhésion de l’Afrique du Sud au groupe BRICS atteste du grand potentiel de ce pays, a-t-elle également souligné lors d’une récente interview.
En tant que membre africain des BRICS, l’Afrique du Sud peut jouer un rôle spécial pour que la coopération des BRICS vienne soutenir le développement de l’Afrique, a-t-elle ajouté.
L’Afrique du Sud accueille le sommet à Durban les 26 et 27 mars. Pour la première fois, des dirigeants africains participeront à la rencontre, placée cette année sous le thème "BRICS et Afrique : partenariat pour le développement, l’intégration et l’industrialisation".
"Cela nous donnera l’occasion de renforcer les piliers sur lesquels repose le fonctionnement de l’Afrique du Sud", a indiqué la ministre, ajoutant que l’Afrique du Sud, dotée de la plus grande économie du continent, profiterait de ce sommet pour montrer ce qu’elle peut à offrir en matière de commerce.
Le pays, a-t-elle fait remarquer, tirera profit de ses énormes ressources minières, d’une valeur totale de plus de 2 500 milliards de dollars, pour renforcer la coopération économique avec d’autres membres des BRICS.
Le président Jacob Zuma, avec d’autres dirigeants africains, prône depuis longtemps la construction d’infrastructures pour que le continent puisse renforcer ses capacités de transport et ainsi favoriser les échanges commerciaux entre les pays africains, a-t-elle souligné par ailleurs.
Ces dernières années, les BRICS et l’Afrique ont intensifié leur engagements commerciaux et stratégiques. Selon la Standard Bank of South Africa, le volume des échanges commerciaux entre les BRICS et l’Afrique devrait passer de 150 milliards de dollars en 2010 à 530 milliards de dollars en 2015.
Le groupe BRICS, qui rassemble le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud, représentent 42% de la population de la planète, 20% du PIB mondial et 15% du volume des échanges commerciaux internationaux.
Par Thuso Khumalo