Les lampions se sont éteints sur la 6ème réunion annuelle conjointe de la Conférence des ministres africains des Finances, de la Planification et du Développement économique de la commission économique pour l’Afrique et de la conférence des ministres de l’Economie et des Finances de l’Union africaine, au palais des congrès de l’Hôtel Ivoire. Avant de prendre congé de ses hôtes, le gouvernement ivoirien par la voix du Premier ministre Daniel Kablan Duncan a traduit sa conviction quant à l’émergence de l’Afrique.
«Les perspectives de croissance pour 2013 sont solides», a indiqué le Premier ministre ivoirien. Qui s’est réjoui que les travaux des participants aient permis de faire des recommandations à même de booster l’industrialisation de l’Afrique pour aboutir, in fine à son émergence. «Les discussions au cours des travaux ont démontré que notre continent dispose des atouts nécessaires, à travers des potentialités encore intactes, en ressources naturelles d’origine agricole, minière et minérale. Cependant, il s’avère impérieux de former davantage les ressources humaines tant en qualité qu’en quantité. En effet, comme le dit l’adage : ‘’il n’est de richesse que d’hommes’’», a souligné Daniel Kablan Duncan. Pour lui, l’Afrique ne parviendra à cet objectif d’industrialisation que si elle opte pour l’approche volontariste et structurée, en vue de créer des emplois et réduire considérablement le taux de pauvreté. Entre autres recommandations, les participants ont suggéré la nécessité d’adopter et d’appliquer une politique industrielle cohérente afin d’accélérer et renforcer la création de valeur ajoutée de la production locale ainsi que les liens entre secteur des produits de base et les autres secteurs économiques.
K. Hyacinthe
«Les perspectives de croissance pour 2013 sont solides», a indiqué le Premier ministre ivoirien. Qui s’est réjoui que les travaux des participants aient permis de faire des recommandations à même de booster l’industrialisation de l’Afrique pour aboutir, in fine à son émergence. «Les discussions au cours des travaux ont démontré que notre continent dispose des atouts nécessaires, à travers des potentialités encore intactes, en ressources naturelles d’origine agricole, minière et minérale. Cependant, il s’avère impérieux de former davantage les ressources humaines tant en qualité qu’en quantité. En effet, comme le dit l’adage : ‘’il n’est de richesse que d’hommes’’», a souligné Daniel Kablan Duncan. Pour lui, l’Afrique ne parviendra à cet objectif d’industrialisation que si elle opte pour l’approche volontariste et structurée, en vue de créer des emplois et réduire considérablement le taux de pauvreté. Entre autres recommandations, les participants ont suggéré la nécessité d’adopter et d’appliquer une politique industrielle cohérente afin d’accélérer et renforcer la création de valeur ajoutée de la production locale ainsi que les liens entre secteur des produits de base et les autres secteurs économiques.
K. Hyacinthe