Dans sa volonté d’aller contre les recommandations de la Confédération africaine de handball (Cahb) et de la Fédération internationale de handball (Ihf), le ministère des Sports, Alain Logbognon, refuse toujours d’organiser les élections à la Fédération ivoirienne de handball (Fihb), sous l’égide du Comité national olympique (Cno). Pour marquer son entêtement, son Comité de gestion intérimaire a décidé d’organiser les compétitions.
Problème : sur la trentaine de clubs attendus, seulement quatre (4) ont choisi de prendre part à ces compétitions. Face à la réticence des autres équipes, le Comité de gestion a coopté deux clubs rétrogradés en deuxième division pour disputer le championnat de première division. Il s’agit de Queens Academy et Avenir handball club, en Dames. «Nous n’avons pas le choix. Les autres équipes ne veulent pas participer. Or, il faut que la balle roule», a expliqué Jean-Baptiste Kipré, membre du Comité de gestion sur les antennes de la télévision nationale. Un aveu de taille qui prouve le désaveu cinglant que leur ont fait subir les clubs. C’est donc avec sept clubs, amadoués par une affiliation gratuite, qui prendront part au championnat. Red Star, Family et Sport Plus de Yamoussoukro (Hommes) d’un côté.
De l’autre, National, Zacos, Queens et Avenir (Dames). Ce qui est encore intéressant dans le problème auquel est confrontée la structure du ministère des Sports, c’est qu’elle a décidé de faire disputer la Super coupe. Un trophée qui se joue généralement entre le champion et le vainqueur de la coupe nationale. Or chez les dames, l’Africa Sports et Tiassalé handball club refusent de s’aligner sur le Comité de gestion, tout comme la Société omnisport de l’armée (Soa) chez les hommes. Du coup, tout est encore bloqué pour l’équipe de Mariam Koné, installée par le ministère des Sports, alors que les instances internationales ont suspendu les clubs et les arbitres ivoiriens des compétitions internationales.
Alexis Adélé
adele_alexis@yahoo.fr
Problème : sur la trentaine de clubs attendus, seulement quatre (4) ont choisi de prendre part à ces compétitions. Face à la réticence des autres équipes, le Comité de gestion a coopté deux clubs rétrogradés en deuxième division pour disputer le championnat de première division. Il s’agit de Queens Academy et Avenir handball club, en Dames. «Nous n’avons pas le choix. Les autres équipes ne veulent pas participer. Or, il faut que la balle roule», a expliqué Jean-Baptiste Kipré, membre du Comité de gestion sur les antennes de la télévision nationale. Un aveu de taille qui prouve le désaveu cinglant que leur ont fait subir les clubs. C’est donc avec sept clubs, amadoués par une affiliation gratuite, qui prendront part au championnat. Red Star, Family et Sport Plus de Yamoussoukro (Hommes) d’un côté.
De l’autre, National, Zacos, Queens et Avenir (Dames). Ce qui est encore intéressant dans le problème auquel est confrontée la structure du ministère des Sports, c’est qu’elle a décidé de faire disputer la Super coupe. Un trophée qui se joue généralement entre le champion et le vainqueur de la coupe nationale. Or chez les dames, l’Africa Sports et Tiassalé handball club refusent de s’aligner sur le Comité de gestion, tout comme la Société omnisport de l’armée (Soa) chez les hommes. Du coup, tout est encore bloqué pour l’équipe de Mariam Koné, installée par le ministère des Sports, alors que les instances internationales ont suspendu les clubs et les arbitres ivoiriens des compétitions internationales.
Alexis Adélé
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