Agboville - La quinzaine de candidat au poste du conseil régional de l'Agnéby-Tiassa des trois mairies de la circonscription électorale d'Agboville a exprimé ses inquiétudes quant au bon déroulement du scrutin fixé au 21 avril, jeudi lors d'une séance de travail à Agboville, avec le superviseur de la Commission ElectoraleIndépendante (CEI) pour la région.
« Nous préférons nous-mêmes remettre des mandats à nos représentants dans les bureaux de vote la veille du scrutin pour éviter la corruption. C'est plus prudent », ont défendu tous les candidats présents.
M. Auguste Sévérin Mirémont, superviseur régional pour la CEI a dit avoir pris acte de cette volonté des candidats.« Si cette approche vous convient, nous reviendrons donc à l'ancienne formule », a assuré M. Mirémont. Il venait de présenter la nouvelle mouture, rejetée par les candidats et qui recommandait plutôt à ces derniers, de faire parvenir la liste de leurs représentant à la CEI.
Les candidats sont revenus à plusieurs reprises sur les dispositions prises par la CEI pour organiser ce double scrutin dans une même salle. Ils ont exprimé leurs inquiétudes, face au retard que prendrait un tel processus, vu l'insuffisance du nombre de salle de classe suffisamment éclairé en électricité.
D'autres candidats ont demandé au superviseur de sensibiliser les présidents des bureaux de vote, qui sont souvent, disent-ils, au cœur des fraudes et autres bourrage d'urnes. « S'il arrive que des morts aient voté lors du scrutin antérieur, c'est bien le fait des présidents de bureau de vote », ont soutenu de nombreux candidats.
Face à toutes ces récriminations, M. Mirémont a pris des dispositions pour éviter de se retrouver face à ces différents cas de figure. Il a en outre exhorté chacun des candidats à cesser d'être susceptible et à ne pas voir la fraude partout.
Le superviseur régional pour l'Agnéby-Tiassa et la Mé s'est étonné par ailleurs que des candidats parlent de bourrage d'urnes alors que ces dernières sont transparentes et scellées. « C'était possible avant durant le transport des urnes et parce qu'elles étaient en contre-plaquées, mais aujourd'hui non », a-t-il assuré.
« J'ai l'impression que les gens d'Agboville se complaisent dans une situation de tension permanente », a déploré Auguste Mirémont, avant d'inviter chacun des candidats à avoir confiance au système mis en place. « Comptez sur moi, comme moi je compte sur mes collègues de la CEI locale, qui agissent tous pour ne pas saper la sortie de crise », a-t-il dit.
« Nous préférons nous-mêmes remettre des mandats à nos représentants dans les bureaux de vote la veille du scrutin pour éviter la corruption. C'est plus prudent », ont défendu tous les candidats présents.
M. Auguste Sévérin Mirémont, superviseur régional pour la CEI a dit avoir pris acte de cette volonté des candidats.« Si cette approche vous convient, nous reviendrons donc à l'ancienne formule », a assuré M. Mirémont. Il venait de présenter la nouvelle mouture, rejetée par les candidats et qui recommandait plutôt à ces derniers, de faire parvenir la liste de leurs représentant à la CEI.
Les candidats sont revenus à plusieurs reprises sur les dispositions prises par la CEI pour organiser ce double scrutin dans une même salle. Ils ont exprimé leurs inquiétudes, face au retard que prendrait un tel processus, vu l'insuffisance du nombre de salle de classe suffisamment éclairé en électricité.
D'autres candidats ont demandé au superviseur de sensibiliser les présidents des bureaux de vote, qui sont souvent, disent-ils, au cœur des fraudes et autres bourrage d'urnes. « S'il arrive que des morts aient voté lors du scrutin antérieur, c'est bien le fait des présidents de bureau de vote », ont soutenu de nombreux candidats.
Face à toutes ces récriminations, M. Mirémont a pris des dispositions pour éviter de se retrouver face à ces différents cas de figure. Il a en outre exhorté chacun des candidats à cesser d'être susceptible et à ne pas voir la fraude partout.
Le superviseur régional pour l'Agnéby-Tiassa et la Mé s'est étonné par ailleurs que des candidats parlent de bourrage d'urnes alors que ces dernières sont transparentes et scellées. « C'était possible avant durant le transport des urnes et parce qu'elles étaient en contre-plaquées, mais aujourd'hui non », a-t-il assuré.
« J'ai l'impression que les gens d'Agboville se complaisent dans une situation de tension permanente », a déploré Auguste Mirémont, avant d'inviter chacun des candidats à avoir confiance au système mis en place. « Comptez sur moi, comme moi je compte sur mes collègues de la CEI locale, qui agissent tous pour ne pas saper la sortie de crise », a-t-il dit.
