La pauvre ! Elle est malmenée depuis des décennies. On a cru que son calvaire allait prendre fin avec la montée des « démocrates ». Que non. Elle continue de souffrir. D'être balafrée. Et après, on se surprendra d'avoir des licenciés et des maîtrisards qui ne maîtrisent pas la langue de molière. Qui construisent des phrases truffées de fautes. Des chômeurs dont le rang grossit chaque année...
Elysée YAO
Elysée YAO