Bouaflé – Une plate-forme d’organisations non gouvernementales (ONG) a été mise en place, lundi, par la Commission Dialogue, vérité et réconciliation (CDVR) pour booster le processus de réconciliation dans le département de Bouaflé.
Il s’agit d’approcher toute la population, quelque soit le sexe, l’âge, la région, la religion, le groupe ethnique ou le statut social, afin de l’amener à la paix, la réconciliation et au pardon.
La coordinatrice CDVR chargée de la région du Guémon et chef de la délégation, Sondé Michelle, a indiqué que les ONG sont un peu partout dans les campagnes, villages et hameaux, et peuvent aider la Commission à trouver des solutions pour la réconciliation des fils du pays.
Mme Sondé a invité les membres de la plate-forme à travailler avec tous les acteurs de la société civile, notamment les chefs traditionnels, qui indiqueront la marche à suivre sur le plan culturel, afin de parvenir à la paix.
"Je vous demande pardon, soyez consciencieux, ne vous dérobez pas de votre tâche, ne dormez pas sur vos lauriers, allez partout pour expliquer et amener les gens à la réconciliation et à accepter le pardon. Cela n’est pas de tout repos", a-t-elle indiqué, précisant qu’il faut rendre la tâche facile au président de la CDVR, Charles Konan Banny et au président de la République, Alassane Ouattara.
Le président de la CDVR locale, le révérend pasteur Bah Dénis, a souligné qu’il est possible de parler de réconciliation parce que Dieu contrôle la Côte d’Ivoire.
Selon le guide religieux, c’est le temps de la paix, de la réconciliation, de panser les blessures et de regarder ensemble dans la même direction pour l’harmonie entre les fils du pays.
Le président de la plate-forme, Gougouéhi Koudou Ernest, a estimé que l’heure est arrivée de penser à reconstituer les tissus blessés après les meurtrissures, douleurs et pleurs engendrés par la crise postélectorale qu’a connue la Côte d’Ivoire.
La plate-forme des ONG de Bouaflé comprend neuf membres et travaillera en collaboration avec le bureau de la Commission Dialogue, vérité et réconciliation (CDVR) de Bouaflé installé le 25 février.
Il s’agit d’approcher toute la population, quelque soit le sexe, l’âge, la région, la religion, le groupe ethnique ou le statut social, afin de l’amener à la paix, la réconciliation et au pardon.
La coordinatrice CDVR chargée de la région du Guémon et chef de la délégation, Sondé Michelle, a indiqué que les ONG sont un peu partout dans les campagnes, villages et hameaux, et peuvent aider la Commission à trouver des solutions pour la réconciliation des fils du pays.
Mme Sondé a invité les membres de la plate-forme à travailler avec tous les acteurs de la société civile, notamment les chefs traditionnels, qui indiqueront la marche à suivre sur le plan culturel, afin de parvenir à la paix.
"Je vous demande pardon, soyez consciencieux, ne vous dérobez pas de votre tâche, ne dormez pas sur vos lauriers, allez partout pour expliquer et amener les gens à la réconciliation et à accepter le pardon. Cela n’est pas de tout repos", a-t-elle indiqué, précisant qu’il faut rendre la tâche facile au président de la CDVR, Charles Konan Banny et au président de la République, Alassane Ouattara.
Le président de la CDVR locale, le révérend pasteur Bah Dénis, a souligné qu’il est possible de parler de réconciliation parce que Dieu contrôle la Côte d’Ivoire.
Selon le guide religieux, c’est le temps de la paix, de la réconciliation, de panser les blessures et de regarder ensemble dans la même direction pour l’harmonie entre les fils du pays.
Le président de la plate-forme, Gougouéhi Koudou Ernest, a estimé que l’heure est arrivée de penser à reconstituer les tissus blessés après les meurtrissures, douleurs et pleurs engendrés par la crise postélectorale qu’a connue la Côte d’Ivoire.
La plate-forme des ONG de Bouaflé comprend neuf membres et travaillera en collaboration avec le bureau de la Commission Dialogue, vérité et réconciliation (CDVR) de Bouaflé installé le 25 février.