Abidjan – La Convention de la société civile ivoirienne (CSCI) recommande au gouvernement de mettre en place les bases d’une réconciliation nationale en adressant le triptyque sécurité-réconciliation-foncier.
Dans une déclaration produite vendredi sur la situation sociopolitique en Côte d'Ivoire, au terme d’une convention générale ordinaire, la CSCI fait observer que deux ans après la crise postélectorale, les attentes des populations en matière de niveau de vie, d’emplois et de dialogue social ne semblent pas être satisfaites. Ce, alors que tous ces faits sont de nature à fragiliser les acquis en matière de sécurité, de réconciliation nationale et de cohésion sociale.
La Convention appelle donc également le gouvernement à organiser un dialogue social avec les centrales syndicales, les organisations de la société civile mais aussi à garantir la liberté d’expression aux citoyens en sécurisant les meetings et manifestations publiques.
Aux acteurs de la société civile, la CSCI demande de mener des actions de plaidoyer et de lobbying auprès du gouvernement, de la classe politique, de la communauté internationale et des bailleurs de fonds pour un processus de réconciliation nationale inclusive.
Elle leur recommande de sensibiliser et renforcer les capacités de la jeunesse des partis politiques à la citoyenneté, la non violence et au respect des principes démocratiques.
A l’endroit des populations, la CSCI appelle à un comportement citoyen par le respect des lois et des institutions de la République, en leur demandant de s’impliquer activement dans le processus de la réconciliation nationale à renoncer à la violence comme mode de revendication.
(AIP)
kkf/cmas
Dans une déclaration produite vendredi sur la situation sociopolitique en Côte d'Ivoire, au terme d’une convention générale ordinaire, la CSCI fait observer que deux ans après la crise postélectorale, les attentes des populations en matière de niveau de vie, d’emplois et de dialogue social ne semblent pas être satisfaites. Ce, alors que tous ces faits sont de nature à fragiliser les acquis en matière de sécurité, de réconciliation nationale et de cohésion sociale.
La Convention appelle donc également le gouvernement à organiser un dialogue social avec les centrales syndicales, les organisations de la société civile mais aussi à garantir la liberté d’expression aux citoyens en sécurisant les meetings et manifestations publiques.
Aux acteurs de la société civile, la CSCI demande de mener des actions de plaidoyer et de lobbying auprès du gouvernement, de la classe politique, de la communauté internationale et des bailleurs de fonds pour un processus de réconciliation nationale inclusive.
Elle leur recommande de sensibiliser et renforcer les capacités de la jeunesse des partis politiques à la citoyenneté, la non violence et au respect des principes démocratiques.
A l’endroit des populations, la CSCI appelle à un comportement citoyen par le respect des lois et des institutions de la République, en leur demandant de s’impliquer activement dans le processus de la réconciliation nationale à renoncer à la violence comme mode de revendication.
(AIP)
kkf/cmas