Daloa – Des acteurs de la société civile, des membres de la communauté rurale, de l’administration publique et privée et des élus participent mardi et mercredi à Daloa à un atelier sur le mécanisme de Réduction des émissions de gaz à effet de serres dues à la déforestation et à la dégradation des forêts (REDD+), en vue de contribuer à la lutte contre le changement climatique.
Organisé par le ministère de l’Environnement, de Salubrité Urbaine et du Développement Durable, à travers la Commission nationale REDD+ (CN-REDD+) avec l’appui financier de la Facilité REDD+ de l’Union Européenne (EFI), l’atelier a pour objectif principal d’amener les participants à lutter contre les changements climatiques. Et ce, par des approches et les incitations visant à réduire la déforestation et la dégradation des forêts, à gérer durablement les forêts et à renforcer les stocks de carbone.
Pour M. Yao Marcel, coordonnateur national du mécanisme REDD+, il s’agit de sensibiliser toutes les parties prenantes à la mise en œuvre du processus en Côte d’Ivoire. Ce, ajoute-t-il, dans la mesure où le pays ne peut rester en marge des efforts mondiaux de lutte contre les changements climatiques.
Selon le coordonnateur, le but est de valoriser économiquement la forêt pour faire en sorte qu’elle soit plus rentable de la conserver plutôt que de la détruire est l’un des aspects importants du mécanisme REDD+ proposé mondialement depuis 2005, comme l’une des solutions pour lutter contre la pauvreté, tout en contribuant à la réduction des gaz à effet de serre. D’où l’importance pour les participants de connaître les enjeux et les opportunités qu’offre le mécanisme REDD+, à travers une série d’ateliers d’information et de sensibilisation à l’intérieur du pays.
yy/cmas
Organisé par le ministère de l’Environnement, de Salubrité Urbaine et du Développement Durable, à travers la Commission nationale REDD+ (CN-REDD+) avec l’appui financier de la Facilité REDD+ de l’Union Européenne (EFI), l’atelier a pour objectif principal d’amener les participants à lutter contre les changements climatiques. Et ce, par des approches et les incitations visant à réduire la déforestation et la dégradation des forêts, à gérer durablement les forêts et à renforcer les stocks de carbone.
Pour M. Yao Marcel, coordonnateur national du mécanisme REDD+, il s’agit de sensibiliser toutes les parties prenantes à la mise en œuvre du processus en Côte d’Ivoire. Ce, ajoute-t-il, dans la mesure où le pays ne peut rester en marge des efforts mondiaux de lutte contre les changements climatiques.
Selon le coordonnateur, le but est de valoriser économiquement la forêt pour faire en sorte qu’elle soit plus rentable de la conserver plutôt que de la détruire est l’un des aspects importants du mécanisme REDD+ proposé mondialement depuis 2005, comme l’une des solutions pour lutter contre la pauvreté, tout en contribuant à la réduction des gaz à effet de serre. D’où l’importance pour les participants de connaître les enjeux et les opportunités qu’offre le mécanisme REDD+, à travers une série d’ateliers d’information et de sensibilisation à l’intérieur du pays.
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