Le jeudi 25 avril dernier, les différentes agences du système des Nations unies représentées en Côte d’Ivoire étaient à l’Institut Nationale Polytechnique Félix Houphouët-Boigny (INP-HB) de Yamoussoukro, qui a abrité une rencontre de travail entre leurs représentants et la direction générale de l’institut. Situant l’importance de la réunion, le directeur général (DG) de l’INP-HB, M. Koffi N’Guessan, a souligné qu’elle s’inscrit dans ses tâches prioritaires, ’’qui consistent à rechercher les voies, les meilleures pour réhabiliter en profondeur cet établissement afin d’en faire l’un des centres les plus performants de formation et de recherche d’Afrique. « Il s’agit de pouvoir former dans d’excellentes conditions de travail, des jeunes talentueux qui contribueront au développement de notre continent », a-t-il précisé.
Non sans faire remarquer que les jeunesses africaines qui représentent plus de 60 % des populations de leur pays, constituent ‘’une bombe’’ à retardement si des efforts constants ne sont pas fournis pour assurer durablement leur bonne formation et réussir leur intégration professionnelle’’. Une remarque épousée par le représentant de l’Organisation internationale de travail à cette rencontre qui a révélé que selon un rapport à paraître bientôt, ’’4.742.000 Ivoiriens diplômés, attendent un premier emploi’’. D’où l’urgence, a-t-il souligné, de faire quelque chose. « Nous allons continuer les échanges avec l’institut pour matérialiser un partenariat et maximiser l’impact de nos interventions et aussi permettre à ce que l’INP-HB puisse apporter une réponse, à travers la mise en œuvre de l’adéquation formation/emploi, à la mise en œuvre de la vision du chef de l’Etat de faire de la Côte d’Ivoire, un pays émergent », a indiqué au terme de la rencontre, Mme Marie Gouth Nizigama, chef de bureau du coordonnateur résident du Système des Nations Unies
Blaise BONSIE à Yamoussoukro
Non sans faire remarquer que les jeunesses africaines qui représentent plus de 60 % des populations de leur pays, constituent ‘’une bombe’’ à retardement si des efforts constants ne sont pas fournis pour assurer durablement leur bonne formation et réussir leur intégration professionnelle’’. Une remarque épousée par le représentant de l’Organisation internationale de travail à cette rencontre qui a révélé que selon un rapport à paraître bientôt, ’’4.742.000 Ivoiriens diplômés, attendent un premier emploi’’. D’où l’urgence, a-t-il souligné, de faire quelque chose. « Nous allons continuer les échanges avec l’institut pour matérialiser un partenariat et maximiser l’impact de nos interventions et aussi permettre à ce que l’INP-HB puisse apporter une réponse, à travers la mise en œuvre de l’adéquation formation/emploi, à la mise en œuvre de la vision du chef de l’Etat de faire de la Côte d’Ivoire, un pays émergent », a indiqué au terme de la rencontre, Mme Marie Gouth Nizigama, chef de bureau du coordonnateur résident du Système des Nations Unies
Blaise BONSIE à Yamoussoukro