La salle de conférence de la Direction générale du Port Autonome d’Abidjan a servi de cadre, le lundi 13 mai 2013, à un séminaire de l’Organisation Maritime Internationale (OMI) sur les cargaisons dangereuses et les marchandises solides en vrac.
Projection de film sur les marchandises dangereuses en mer afin de montrer l’enjeu d’une telle formation ; partages d’expériences dans la surveillance des cargaisons et autres marchandises ont meublé cette première journée. Rappelant la dangerosité de certaines cargaisons, l’expert de l’OMI, Alfredo Parroquin Ohlson a jugé urgent de sauvegarder les vies humaines, à travers cette formation. Au dire de l’expert, si rien n’est fait, des catastrophes pourraient plomber l’activité dévolue aux infrastructures portuaires comme le PAA. Le colonel Teya Pascal, représentant le directeur général des Affaires maritimes et portuaires (DGAMP), a souligné l’importance de la mise en œuvre du code maritime international des marchandises dangereuses (Code IMDG) et du code maritime international des cargaisons solides en vrac (Code IMSBC). «La rencontre qui démarre ce jour est d’une importance capitale pour notre pays, car elle nous engage à ne pas perdre de vue la problématique de la gestion des marchandises dangereuses, gestion qui revêt un enjeu pour la sécurité et la sûreté maritime», a-t-il indiqué. Selon le représentant du DG de la DGAMP, le déversement des déchets toxiques par le navire Probo Koala à Abidjan en est une belle illustration. Car, a-t-il rappelé, avec l’industrialisation les cargaisons ne cessent de croître en tonnage, et sont à l’origine de certaines des pires catastrophes qui ont marqué l’histoire du transport maritime. Le financement de cette session de formation est l’œuvre du Fonds de la coopération technique de l’OMI. Elle prendra fin le vendredi 18 mai 2013.
K. Hyacinthe
Projection de film sur les marchandises dangereuses en mer afin de montrer l’enjeu d’une telle formation ; partages d’expériences dans la surveillance des cargaisons et autres marchandises ont meublé cette première journée. Rappelant la dangerosité de certaines cargaisons, l’expert de l’OMI, Alfredo Parroquin Ohlson a jugé urgent de sauvegarder les vies humaines, à travers cette formation. Au dire de l’expert, si rien n’est fait, des catastrophes pourraient plomber l’activité dévolue aux infrastructures portuaires comme le PAA. Le colonel Teya Pascal, représentant le directeur général des Affaires maritimes et portuaires (DGAMP), a souligné l’importance de la mise en œuvre du code maritime international des marchandises dangereuses (Code IMDG) et du code maritime international des cargaisons solides en vrac (Code IMSBC). «La rencontre qui démarre ce jour est d’une importance capitale pour notre pays, car elle nous engage à ne pas perdre de vue la problématique de la gestion des marchandises dangereuses, gestion qui revêt un enjeu pour la sécurité et la sûreté maritime», a-t-il indiqué. Selon le représentant du DG de la DGAMP, le déversement des déchets toxiques par le navire Probo Koala à Abidjan en est une belle illustration. Car, a-t-il rappelé, avec l’industrialisation les cargaisons ne cessent de croître en tonnage, et sont à l’origine de certaines des pires catastrophes qui ont marqué l’histoire du transport maritime. Le financement de cette session de formation est l’œuvre du Fonds de la coopération technique de l’OMI. Elle prendra fin le vendredi 18 mai 2013.
K. Hyacinthe
