Abidjan -La mise sur pied d’un fonds destiné à promouvoir et à accélérer des investissements privés dans l’infrastructure agricole de l'Afrique subsaharienne a été lancée récemment au Cap, en Afrique du Sud, à l’occasion du Forum pour le développement de l’Afrique.
Ce fonds co-financé par l'Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) et le gouvernement suédois, sera géré par le groupe de la Banque africaine de développement, selon l’information donnée mardi sur le fil de l’Ambassade des Etats-Unis en Côte d’Ivoire.
Lors du sommet du G8 tenu en 2012 à Camp David, près de Washington, les pays industrialisés, les pays africains et le privé avaient convenu de la mise en route d’une initiative en faveur de la sécurité alimentaire pour les populations de l’Afrique subsaharienne.
Baptisé "Accélération du développement agricole" (Agriculture Fast Track), le fonds va participer au fonctionnement de la Nouvelle alliance pour la sécurité alimentaire et la nutrition chargée d’apporter une assistance au développement agricole dans les pays africains concernés par le projet aux fins de sortir quelque 50 millions de personnes de la pauvreté d'ici à 2022.
La Nouvelle alliance appuie les réformes axées sur les mécanismes de marché dans les pays africains que sont le Burkina Faso, la Côte d'Ivoire, l’Ethiopie, le Ghana, le Kenya, le Libéria, le Malawi, le Mali, le Mozambique, l’Ouganda, le Rwanda, le Sénégal, la Tanzanie et la Zambie, avec notamment des investissements privés prévus dans le secteur agricole.
Le lancement du fonds va permettre, au terme de ces réformes, de livrer plus facilement leurs produits aux marchés, indique-t-on.
L’Afrique qui a le potentiel de nourrir son propre peuple et ceux des autres continents, a besoin de l'amélioration de ses routes, des ports et ses voies ferrées, souligne l'USAID, prévenant que la demande alimentaire mondiale pourrait croître de près de 60% d'ici à 2050.
(AIP)
kp
(AIP)
Ce fonds co-financé par l'Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) et le gouvernement suédois, sera géré par le groupe de la Banque africaine de développement, selon l’information donnée mardi sur le fil de l’Ambassade des Etats-Unis en Côte d’Ivoire.
Lors du sommet du G8 tenu en 2012 à Camp David, près de Washington, les pays industrialisés, les pays africains et le privé avaient convenu de la mise en route d’une initiative en faveur de la sécurité alimentaire pour les populations de l’Afrique subsaharienne.
Baptisé "Accélération du développement agricole" (Agriculture Fast Track), le fonds va participer au fonctionnement de la Nouvelle alliance pour la sécurité alimentaire et la nutrition chargée d’apporter une assistance au développement agricole dans les pays africains concernés par le projet aux fins de sortir quelque 50 millions de personnes de la pauvreté d'ici à 2022.
La Nouvelle alliance appuie les réformes axées sur les mécanismes de marché dans les pays africains que sont le Burkina Faso, la Côte d'Ivoire, l’Ethiopie, le Ghana, le Kenya, le Libéria, le Malawi, le Mali, le Mozambique, l’Ouganda, le Rwanda, le Sénégal, la Tanzanie et la Zambie, avec notamment des investissements privés prévus dans le secteur agricole.
Le lancement du fonds va permettre, au terme de ces réformes, de livrer plus facilement leurs produits aux marchés, indique-t-on.
L’Afrique qui a le potentiel de nourrir son propre peuple et ceux des autres continents, a besoin de l'amélioration de ses routes, des ports et ses voies ferrées, souligne l'USAID, prévenant que la demande alimentaire mondiale pourrait croître de près de 60% d'ici à 2050.
(AIP)
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