ABIDJAN - Des hommes puissamment armés ont pris en otage tôt dans la matinée le village de Logbakro à proximité de Yamoussoukro (centre), la capitale politique ivoirienne, ont indiqué mercredi des habitants à Xinhua.
A en croire ceux-ci, ces individus armés ont bloqué les voies d'accès au village, empêchant les villageois de se rendre aux champs et empêchant les automobilistes de circuler sur cette voie principale qui relie les deux capitales du pays.
Pis, ces inconnus ont agressé plusieurs usagers de la voie et sont restés maîtres du village durant quelque temps.
Les forces de sécurité avisées par les populations sont arrivées pour libérer le village des occupants encombrants, mais les hommes armés se sont évanouis dans la nature avant leur arrivée.
Les militaires et gendarmes ivoiriens ont mis en place un dispositif visant à ratisser la zone en vue de débusquer les individus de mauvais aloi.
Toutefois, les villageois sont pris par la psychose, au regard des attaques et de la présence régulière d'hommes en armes appelés aussi " coupeurs de routes ", ce qui selon eux paralyse leurs activités champêtres, personne ne voulant prendre le risque d'affronter ces individus malfaisants.
La sécurisation post-crise constitue l'une des préoccupations des autorités qui entendent donner les moyens adéquats aux forces de l'ordre pour traquer les bandes armées qui opèrent dans des villes et villages.
A en croire ceux-ci, ces individus armés ont bloqué les voies d'accès au village, empêchant les villageois de se rendre aux champs et empêchant les automobilistes de circuler sur cette voie principale qui relie les deux capitales du pays.
Pis, ces inconnus ont agressé plusieurs usagers de la voie et sont restés maîtres du village durant quelque temps.
Les forces de sécurité avisées par les populations sont arrivées pour libérer le village des occupants encombrants, mais les hommes armés se sont évanouis dans la nature avant leur arrivée.
Les militaires et gendarmes ivoiriens ont mis en place un dispositif visant à ratisser la zone en vue de débusquer les individus de mauvais aloi.
Toutefois, les villageois sont pris par la psychose, au regard des attaques et de la présence régulière d'hommes en armes appelés aussi " coupeurs de routes ", ce qui selon eux paralyse leurs activités champêtres, personne ne voulant prendre le risque d'affronter ces individus malfaisants.
La sécurisation post-crise constitue l'une des préoccupations des autorités qui entendent donner les moyens adéquats aux forces de l'ordre pour traquer les bandes armées qui opèrent dans des villes et villages.
