Madame Massandjé Touré-Litse, Directeur Général du Conseil du Café-Cacao, a rencontré une délégation de Touton Négoce Côte d’Ivoire et son client Altinmarka, le mercredi 22 mai 2013 au 23ème étage de l’immeuble Caistab.
Altinmarka est un chocolatier Turc basé à Istanbul avec une capacité de transformation 80.000 à 100.000 tonnes de cacao. Il produit de la masse de cacao, du beurre de cacao, de la poudre et du chocolat. Son approvisionnement en cacao se fait à hauteur de 50% auprès de Touton Négoce Côte d’Ivoire.
Selon son Directeur Général, Monsieur Erol KOLSUZ, la réglementation Turque est très pointilleuse sur la sécurité alimentaire. Il est donc venu s’enquérir des conditions de production, précisément du processus de traitement phytosanitaire du cacao de Côte d’Ivoire depuis le bord champ jusqu’à la commercialisation.
Pour Touton Négoce C.I, cette audience avait pour objectif de rassurer Altinmarka sur la qualité du cacao ivoirien.
Notons que Le Conseil du Café-Cacao veille scrupuleusement à la qualité du cacao ivoirien notamment par la mise en place de son programme 2QC (Quantité-Qualité-Croissance), qui prend en compte l’acquisition de produits phytosanitaires adaptés et l’encadrement des producteurs dans la procédure de traitement des vergers.
Altinmarka est un chocolatier Turc basé à Istanbul avec une capacité de transformation 80.000 à 100.000 tonnes de cacao. Il produit de la masse de cacao, du beurre de cacao, de la poudre et du chocolat. Son approvisionnement en cacao se fait à hauteur de 50% auprès de Touton Négoce Côte d’Ivoire.
Selon son Directeur Général, Monsieur Erol KOLSUZ, la réglementation Turque est très pointilleuse sur la sécurité alimentaire. Il est donc venu s’enquérir des conditions de production, précisément du processus de traitement phytosanitaire du cacao de Côte d’Ivoire depuis le bord champ jusqu’à la commercialisation.
Pour Touton Négoce C.I, cette audience avait pour objectif de rassurer Altinmarka sur la qualité du cacao ivoirien.
Notons que Le Conseil du Café-Cacao veille scrupuleusement à la qualité du cacao ivoirien notamment par la mise en place de son programme 2QC (Quantité-Qualité-Croissance), qui prend en compte l’acquisition de produits phytosanitaires adaptés et l’encadrement des producteurs dans la procédure de traitement des vergers.