Dès ce lundi 27 mai jusqu’au samedi 22 juin 2013, les Infographistes de Côte d’Ivoire réunis au sein de l’UNATECCI (Union Nationale des Techniciens de la Communication de Côte d’Ivoire), suivront des séminaires de renforcement de capacités. Le Fonds de Soutien et de Développement de la Presse (FSDP) qui finance cette formation, a procédé le 23 mai 2013, à la Salle Félix Houphouët-Boigny de l’Hôtel du District d’Abidjan-Plateau, au lancement de ladite formation. A travers cette interview, Félix N’Guessan, président de l’UNATECCI et initiateur de ce projet explique tout.
Président, sous quel signe placez-vous ce seminaire grand format, le premier du genre initié par l’UNATECCI depuis sa création ?
Si nous considérons que le produit de l’infographie est, dans la chaîne de production d’un journal, le premier élément sur lequel le lecteur pose son regard, il est important que la mise en pages ou la présentation de nos différentes parutions soit bien faite. Or, l’art graphique évolue ; il faut donc régulièrement s’adapter à cette évolution pour demeurer efficace dans notre travail. C’est donc sous le signe de l’efficacité que nous plaçons cette formation, le premier du genre financé par la Côte d’Ivoire à travers le Fonds de Soutien et de Développement de la Presse (FSDP).
Comment va se dérouler concrètement la formation ?
La formation va se dérouler sur trois semaines à partir du lundi 27 Mai 2013. Les soixante apprenants repartis en trois groupes pédagogiques de vingt personnes vont suivre chacun trois (3) modules de formation pendant vingt heures. Les enseignements seront axés sur les techniques pratiques d’infographie, l’utilisation rationnelle du matériel de travail et l’utilisation d’internet et de ses applications que sont la navigation, la création et la gestion de compte dans les réseaux sociaux, la création de blog, etc.
Y a t-il des conditions particulières pour prendre part à ce séminaire?
Je rappelle que cette formation est gratuite. Elle est entièrement financée par l’Etat de Côte d’Ivoire à travers le FSDP. Il n’y a donc pas de conditions particulières pour y participer. Il suffit simplement d’être infographiste et d’appartenir à une rédaction de presse. Mais comme notre projet ne concerne que 60 infographistes, nous avons été obligés de faire des choix dans certaines rédactions. Nous sommes en négociation avec le formateur, le cabinet ESMA, afin qu’il accepte une liste additive. Notre souci, c’est de former le maximum d’infographistes au cours de cette première séance grand format.
Quels sont les arguments qui ont motivé au choix du cabinet ESMA pour ce séminaire ?
Ce n’est pas l’UNATECCI qui a choisi le cabinet ESMA pour exécuter ce projet de formation. En 2010, l’UNATECCI a soumis le projet de formation des infographistes au FSDP avec l’appui du Groupement des Editeurs de Presse de Côte d’Ivoire (GEPCI). Ce projet a été instruit par la Direction Exécutive du Fonds puis validé par son Conseil de Gestion. Il a fait l’objet d’un appel d’offres ouvert qui a mis en compétition plusieurs Cabinets de formation. C’est au terme de cette procédure d’appel d’offres que l’Ecole de Spécialités Multimédia d’Abidjan (ESMA) a remporté le marché. La délibération a ensuite été approuvée par le Ministère de la Communication en Septembre 2012.
Un mot à l’endroit des apprenants ?
Aux Infographistes séminaristes, je voudrais demander de prendre très au sérieux cette formation. Toute la Côte d’Ivoire et la grande famille de la presse ont le regard tourné vers nous. C’est un ballon d’essai dans notre camp; un premier challenge à réussir. J’invite donc tout le monde à avoir des comportements responsables durant tout le temps que va durer la formation afin de sortir de l’ESMA, beaucoup plus outillés.
Sébastien Kouassi
Code photo : Félix UNATECCI
Légende : Félix N’Guessan, président de l’Union Nationale des Techniciens de la Communication de Côte d’Ivoire (UNATECCI)
Président, sous quel signe placez-vous ce seminaire grand format, le premier du genre initié par l’UNATECCI depuis sa création ?
Si nous considérons que le produit de l’infographie est, dans la chaîne de production d’un journal, le premier élément sur lequel le lecteur pose son regard, il est important que la mise en pages ou la présentation de nos différentes parutions soit bien faite. Or, l’art graphique évolue ; il faut donc régulièrement s’adapter à cette évolution pour demeurer efficace dans notre travail. C’est donc sous le signe de l’efficacité que nous plaçons cette formation, le premier du genre financé par la Côte d’Ivoire à travers le Fonds de Soutien et de Développement de la Presse (FSDP).
Comment va se dérouler concrètement la formation ?
La formation va se dérouler sur trois semaines à partir du lundi 27 Mai 2013. Les soixante apprenants repartis en trois groupes pédagogiques de vingt personnes vont suivre chacun trois (3) modules de formation pendant vingt heures. Les enseignements seront axés sur les techniques pratiques d’infographie, l’utilisation rationnelle du matériel de travail et l’utilisation d’internet et de ses applications que sont la navigation, la création et la gestion de compte dans les réseaux sociaux, la création de blog, etc.
Y a t-il des conditions particulières pour prendre part à ce séminaire?
Je rappelle que cette formation est gratuite. Elle est entièrement financée par l’Etat de Côte d’Ivoire à travers le FSDP. Il n’y a donc pas de conditions particulières pour y participer. Il suffit simplement d’être infographiste et d’appartenir à une rédaction de presse. Mais comme notre projet ne concerne que 60 infographistes, nous avons été obligés de faire des choix dans certaines rédactions. Nous sommes en négociation avec le formateur, le cabinet ESMA, afin qu’il accepte une liste additive. Notre souci, c’est de former le maximum d’infographistes au cours de cette première séance grand format.
Quels sont les arguments qui ont motivé au choix du cabinet ESMA pour ce séminaire ?
Ce n’est pas l’UNATECCI qui a choisi le cabinet ESMA pour exécuter ce projet de formation. En 2010, l’UNATECCI a soumis le projet de formation des infographistes au FSDP avec l’appui du Groupement des Editeurs de Presse de Côte d’Ivoire (GEPCI). Ce projet a été instruit par la Direction Exécutive du Fonds puis validé par son Conseil de Gestion. Il a fait l’objet d’un appel d’offres ouvert qui a mis en compétition plusieurs Cabinets de formation. C’est au terme de cette procédure d’appel d’offres que l’Ecole de Spécialités Multimédia d’Abidjan (ESMA) a remporté le marché. La délibération a ensuite été approuvée par le Ministère de la Communication en Septembre 2012.
Un mot à l’endroit des apprenants ?
Aux Infographistes séminaristes, je voudrais demander de prendre très au sérieux cette formation. Toute la Côte d’Ivoire et la grande famille de la presse ont le regard tourné vers nous. C’est un ballon d’essai dans notre camp; un premier challenge à réussir. J’invite donc tout le monde à avoir des comportements responsables durant tout le temps que va durer la formation afin de sortir de l’ESMA, beaucoup plus outillés.
Sébastien Kouassi
Code photo : Félix UNATECCI
Légende : Félix N’Guessan, président de l’Union Nationale des Techniciens de la Communication de Côte d’Ivoire (UNATECCI)