Plutôt que d’attendre que l’Afrique s’unisse, la France a tout intérêt à devancer le mouvement par une approche européenne.
Comme le montre l’invitation du président français, François Hollande, à Addis Abeba au sommet de l’Union africaine (UA), l’attentat au Niger contre la mine d’uranium du français Areva contraint plus que jamais Paris à dessiner sa politique africaine à l’échelle du continent, après une intervention militaire pourtant très ciblée au Mali.
La Chine et l’Inde jouent déjà à plein cette carte «panafricaine», celle des Etats mais aussi des entrepreneurs, des petits commerçants et de la culture, alors que l’UA fête actuellement ses 50 ans autour d’un fort sentiment de «renaissance» continentale. suite de l'article sur Slate Afrique
Comme le montre l’invitation du président français, François Hollande, à Addis Abeba au sommet de l’Union africaine (UA), l’attentat au Niger contre la mine d’uranium du français Areva contraint plus que jamais Paris à dessiner sa politique africaine à l’échelle du continent, après une intervention militaire pourtant très ciblée au Mali.
La Chine et l’Inde jouent déjà à plein cette carte «panafricaine», celle des Etats mais aussi des entrepreneurs, des petits commerçants et de la culture, alors que l’UA fête actuellement ses 50 ans autour d’un fort sentiment de «renaissance» continentale. suite de l'article sur Slate Afrique