La Fédération ivoirienne d'athlétisme(Fia) va renouveler ses instances dirigeantes, le 2 juin prochain à la faveur de son Assemblée générale élective. Candidat à sa propre succession, Nicolas Debrimou était face à la presse, le lundi 27 mai 2013 dans la salle de conférence de l'Ons, au Plateau, pour donner ses motivations. «Je vise un second mandat parce que tout était à refaire lors de mon premier mandat. J'ai essayé de mettre en place les fondations. Je veux continuer pour poursuivre le travail entamé», a-t-il dit. Pour Nicolas Debrimou, les deux problèmes de la Fia, ont pour noms l'encadrement technique et la détection des athlètes.
Une détection qui nécessite un suivi et surtout des infrastructures adéquates. Il s'est réjoui des acquis notamment au niveau des athlètes de haut niveau, en l'occurrence Murielle Ahouré qui est la coqueluche de la discipline en Cote d'Ivoire. La direction technique nationale, selon le président sortant, regroupe toutes les parties du pays. «Les ligues ont des subventions pour les entraînements et pour organiser les compétitions», a-t-il ajouté. Parlant du semi-marathon d'Abidjan, il a fait savoir que la Fia a pu trouver un sponsor pour les prochaines éditions. «En 2011, le semi-marathon a été organisé sur fonds propres. En 2012, faute de moyens, on n'a pu l'organiser», regrette Nicolas Debrimou. Il a terminé en invitant le second candidat au bon ton et au fair-play pour des élections apaisées.
AnnonciaS
Une détection qui nécessite un suivi et surtout des infrastructures adéquates. Il s'est réjoui des acquis notamment au niveau des athlètes de haut niveau, en l'occurrence Murielle Ahouré qui est la coqueluche de la discipline en Cote d'Ivoire. La direction technique nationale, selon le président sortant, regroupe toutes les parties du pays. «Les ligues ont des subventions pour les entraînements et pour organiser les compétitions», a-t-il ajouté. Parlant du semi-marathon d'Abidjan, il a fait savoir que la Fia a pu trouver un sponsor pour les prochaines éditions. «En 2011, le semi-marathon a été organisé sur fonds propres. En 2012, faute de moyens, on n'a pu l'organiser», regrette Nicolas Debrimou. Il a terminé en invitant le second candidat au bon ton et au fair-play pour des élections apaisées.
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