Sur 10 ans, le chocolatier américain Mondelez entend injecter près de 50 milliards de FCFA dans la filière. A la suite de la signature de ce partenariat, nous avons rencontré les responsables de cette multinationale présents à cette cérémonie, pour en savoir davantage.
Pour Kathy Peters, directrice du programme Cocoa life, le planteur est au centre des actions que compte mener Mondelez dans le cadre de la plateforme de partenariat Public-Privé, c’est la raison pour laquelle, elle a décidé de plus s’engager en signant le mémorandum pour participer à la croissance de l’économie cacaoyère et surtout pour la rendre prospère et durable. «Concrètement, c’est d’abord un partenariat avec la plateforme et bien entendu avec nos partenaires commerciaux, les structures spécialisées et aussi les Organisations Non-Gouvernementales (ONG) locales afin de monter des programmes qui visent à améliorer les conditions de vie des planteurs et son environnement», a-t-elle signifié. A cet effet, un programme pilote existe déjà dans la région de Daloa. Ce programme que Kathy Peters juge particulier, concerne 5000 producteurs et 40000 personnes impliquées dans les communautés villageoises. Toutefois, rappelle Alex Assanvo, le responsable du groupe pour la Côte d’Ivoire, le chocolatier américain ne compte en aucun cas, se substituer à l’Etat de Côte d’Ivoire. C’est donc en accord avec le gouvernement et les producteurs que seront décelés les besoins en termes d’infrastructures de bases. «Pour nous, ce qui est important, c’est que la communauté puisse définir ses besoins. Et c’est sur cette base que nous allons établir nos programmes. Le gouvernement de Côte d’Ivoire, à travers le Conseil Café-Cacao représente cette démarche pour éviter de poser des actes qui ne sont toujours pas au bénéfice des communautés de planteurs même s’ils paraissent bien», a ajouté Alex Assanvo. Qui reconnait qu’après la décennie de crise qu’a connue la Côte d’Ivoire, les besoins des cacaoculteurs restent importants. «Au niveau des plantations, il y a le vieillissement des vergers et au niveau des villages, il y a le manque d’infrastructures. La question des routes est assez fondamentale car il faut que le cacao puisse sortir à temps pour des procédures de fermentation …»
K.Hyacinthe, envoyé spécial à San Pedro
Pour Kathy Peters, directrice du programme Cocoa life, le planteur est au centre des actions que compte mener Mondelez dans le cadre de la plateforme de partenariat Public-Privé, c’est la raison pour laquelle, elle a décidé de plus s’engager en signant le mémorandum pour participer à la croissance de l’économie cacaoyère et surtout pour la rendre prospère et durable. «Concrètement, c’est d’abord un partenariat avec la plateforme et bien entendu avec nos partenaires commerciaux, les structures spécialisées et aussi les Organisations Non-Gouvernementales (ONG) locales afin de monter des programmes qui visent à améliorer les conditions de vie des planteurs et son environnement», a-t-elle signifié. A cet effet, un programme pilote existe déjà dans la région de Daloa. Ce programme que Kathy Peters juge particulier, concerne 5000 producteurs et 40000 personnes impliquées dans les communautés villageoises. Toutefois, rappelle Alex Assanvo, le responsable du groupe pour la Côte d’Ivoire, le chocolatier américain ne compte en aucun cas, se substituer à l’Etat de Côte d’Ivoire. C’est donc en accord avec le gouvernement et les producteurs que seront décelés les besoins en termes d’infrastructures de bases. «Pour nous, ce qui est important, c’est que la communauté puisse définir ses besoins. Et c’est sur cette base que nous allons établir nos programmes. Le gouvernement de Côte d’Ivoire, à travers le Conseil Café-Cacao représente cette démarche pour éviter de poser des actes qui ne sont toujours pas au bénéfice des communautés de planteurs même s’ils paraissent bien», a ajouté Alex Assanvo. Qui reconnait qu’après la décennie de crise qu’a connue la Côte d’Ivoire, les besoins des cacaoculteurs restent importants. «Au niveau des plantations, il y a le vieillissement des vergers et au niveau des villages, il y a le manque d’infrastructures. La question des routes est assez fondamentale car il faut que le cacao puisse sortir à temps pour des procédures de fermentation …»
K.Hyacinthe, envoyé spécial à San Pedro