Korhogo - Les autorités sanitaires du district des Savanes exhortent instamment les ménages à se faire dépister "le plus tôt possible" au test de la tuberculose pour les sujets affectés par une toux(pneumonie) qui dure au moins 15 jours, les rassurant qu'il existe des centres de prise en charge gratuite à cet effet.
"Il faut que les populations sachent que les consultations sont gratuites et qu’elles doivent venir en consultation pour une toux qui dure au moins deux semaines", a assuré, vendredi, Dr N’Da Kouamé Guy Honoré, médecin-chef du centre antituberculeux de Korhogo, à l'occasion du lancement de l’édition 2013 de la journée mondiale de la tuberculose décentralisée.
Interpellant sur les ménages sur les conséquences de la négligence ou de l’ignorance, Dr. N'Da a fait savoir qu'"un tuberculeux contagieux qui ne se soigne pas peut contaminer 10 à 15 personnes, chaque année", soulignant que "le traitement marche bien, et il est efficace". Mais, il a déploré que ce qui est constant d'observer est que, le plus souvent, les malades arrivent un peu tard à l’hôpital, et il advient, malheureusement des décès par ce fait.
Dans la région, des succès thérapeutiques et quelques cas de décès ont été enregistrés dans le traitement de la de la forme contagieuse de la maladie. Ainsi, en 2009, sur 377 malades traités, il y a eu un succès thérapeutique de 71% avec 15% de décès. En 2010, 308 malades ont été traités dont 71% se succès thérapeutique et 15% de décès. Sur 412 malades traités en 2011, il y a eu 73% de succès thérapeutique et 12% de décès.
Le district de Savanes comporte 10 centres qui s’occupent de la tuberculose; il comprend le centre antituberculeux de Korhogo, le centre de référence, et 9 autres centres de diagnostic et de traitement localisés à Torgokaha, à l’hôpital Baptiste, dans la commune de Korhogo, à Ferkessédougou, où existent un centre intégré du district sanitaire et un hôpital Baptiste, à Dikodougou, M’Bengué, Boundiali, Tengrela, Ouangolodougou et à Kong.
Le sous-préfet central de Korhogo, Kouadio Eugène, a salué l’initiative de la journée de sensibilisation, et a recommandé aux autorités sanitaires le renforcement des résultats du traitement non sans les avoir appréciés.
"Il faut que les populations sachent que les consultations sont gratuites et qu’elles doivent venir en consultation pour une toux qui dure au moins deux semaines", a assuré, vendredi, Dr N’Da Kouamé Guy Honoré, médecin-chef du centre antituberculeux de Korhogo, à l'occasion du lancement de l’édition 2013 de la journée mondiale de la tuberculose décentralisée.
Interpellant sur les ménages sur les conséquences de la négligence ou de l’ignorance, Dr. N'Da a fait savoir qu'"un tuberculeux contagieux qui ne se soigne pas peut contaminer 10 à 15 personnes, chaque année", soulignant que "le traitement marche bien, et il est efficace". Mais, il a déploré que ce qui est constant d'observer est que, le plus souvent, les malades arrivent un peu tard à l’hôpital, et il advient, malheureusement des décès par ce fait.
Dans la région, des succès thérapeutiques et quelques cas de décès ont été enregistrés dans le traitement de la de la forme contagieuse de la maladie. Ainsi, en 2009, sur 377 malades traités, il y a eu un succès thérapeutique de 71% avec 15% de décès. En 2010, 308 malades ont été traités dont 71% se succès thérapeutique et 15% de décès. Sur 412 malades traités en 2011, il y a eu 73% de succès thérapeutique et 12% de décès.
Le district de Savanes comporte 10 centres qui s’occupent de la tuberculose; il comprend le centre antituberculeux de Korhogo, le centre de référence, et 9 autres centres de diagnostic et de traitement localisés à Torgokaha, à l’hôpital Baptiste, dans la commune de Korhogo, à Ferkessédougou, où existent un centre intégré du district sanitaire et un hôpital Baptiste, à Dikodougou, M’Bengué, Boundiali, Tengrela, Ouangolodougou et à Kong.
Le sous-préfet central de Korhogo, Kouadio Eugène, a salué l’initiative de la journée de sensibilisation, et a recommandé aux autorités sanitaires le renforcement des résultats du traitement non sans les avoir appréciés.
