Nul n’ignore la nécessité du téléphone portable dans la vie de tous les jours. Certes, cet appareil permet d’être en contact permanent avec les amis, les parents ou de transférer de l’argent, de payer des factures etc. Mais, son utilisation abusive par des élèves leur cause préjudice.
A la maison, ils restent accrochés à leur portable. Quand ils ne sont pas en communication, ils émettent des sms ou écoutent de la musique à longueur de journée. Oubliant livres et cahiers. Sur le chemin de l’école, c’est le même comportement. Pareil, dans la cour de l’école ou en classe.
Ils restent accrochés au téléphone malgré son interdiction dans ce lieu. Dans les cours du Lycée municipal et du Lycée moderne d’Issia, il est formellement interdit d’utiliser les portables. Mais en classe, pour y échapper, les élèves mettent les portables en mode silencieux ou vibreur. Ainsi, ils passent le clair de leur temps à observer les écrans pour ne perdre aucun appel ou sms.
MM. Adi René et Oka Justin, professeurs au Lycée municipal d’Issia témoignent : « souvent les élèves se lèvent brusquement de leur banc pour demander la permission de sortir. Si vous les suivez, vous les verrez non loin de la classe, dans un coin en train de communiquer ».
Ces derniers perdent inéluctablement ainsi le fil des explications du professeur. D’autres élèves, surtout les filles, écrivent des sms à leurs correspondants ou regardent des vidéos pornographiques sur leurs portables, pendant les cours. Conséquence : mauvais résultats en fin d’année. Ce fut le cas de l’année académique 2011-2012, où plusieurs exclusions ont été constatées par les parents d’élèves et l’Administration du Lycée municipal. Lesquels parents devraient veiller à ce que leurs enfants ne se rendent à l’école avec leurs portables, s’ils veulent leur réussite. Mieux, de vigoureuses décisions doivent être prises par les autorités de tutelle, afin d’officialiser l’interdiction du téléphone portable dans les classes.
Laimbo Desphares
A la maison, ils restent accrochés à leur portable. Quand ils ne sont pas en communication, ils émettent des sms ou écoutent de la musique à longueur de journée. Oubliant livres et cahiers. Sur le chemin de l’école, c’est le même comportement. Pareil, dans la cour de l’école ou en classe.
Ils restent accrochés au téléphone malgré son interdiction dans ce lieu. Dans les cours du Lycée municipal et du Lycée moderne d’Issia, il est formellement interdit d’utiliser les portables. Mais en classe, pour y échapper, les élèves mettent les portables en mode silencieux ou vibreur. Ainsi, ils passent le clair de leur temps à observer les écrans pour ne perdre aucun appel ou sms.
MM. Adi René et Oka Justin, professeurs au Lycée municipal d’Issia témoignent : « souvent les élèves se lèvent brusquement de leur banc pour demander la permission de sortir. Si vous les suivez, vous les verrez non loin de la classe, dans un coin en train de communiquer ».
Ces derniers perdent inéluctablement ainsi le fil des explications du professeur. D’autres élèves, surtout les filles, écrivent des sms à leurs correspondants ou regardent des vidéos pornographiques sur leurs portables, pendant les cours. Conséquence : mauvais résultats en fin d’année. Ce fut le cas de l’année académique 2011-2012, où plusieurs exclusions ont été constatées par les parents d’élèves et l’Administration du Lycée municipal. Lesquels parents devraient veiller à ce que leurs enfants ne se rendent à l’école avec leurs portables, s’ils veulent leur réussite. Mieux, de vigoureuses décisions doivent être prises par les autorités de tutelle, afin d’officialiser l’interdiction du téléphone portable dans les classes.
Laimbo Desphares