Le Cap (Afrique du Sud), Les opportunités qui s’offrent au transport aérien en Afrique sont au centre des débats en cours à la 69ème Assemblée générale annuelle et le Sommet mondial du transport aérien organisés par l’Association internationale du transport aérien (IATA), officiellement ouverte lundi au Cap (Afrique du Sud), par le vice-président sud-africain, Kgalema Motlanthe.
L’ouverture de la rencontre internationale qui enregistre la participation de délégués issus des grandes compagnies aériennes a été l’opportunité pour les intervenants, à savoir le vice-président ainsi que le ministre sud-africain de l’Industrie publique, Malusi Gigaba, d’appeler les Gouvernements africains d’intégrer le transport aérien comme catalyseur de développement et de la croissance sur le continent.
Au dire de Kgalema Motlanthe, l’apport de l’industrie du transport aérien dans la croissance et le développement est indiscutable car l’aviation contribue à l’inter-connectivité socioéconomique des Etats africains et représente un vecteur de développement à travers les échanges entre l’Afrique et le reste du monde.
Insistant sur la nécessité d’œuvrer à une meilleure régulation et réglementation du secteur, ainsi qu’à l’amélioration de la coopération entre les Etats et les opérateurs du transport aérien, il a insisté sur le potentiel dont regorge l’Afrique.
Auparavant, le ministre Malusi Gigaba a appelé les Gouvernants à faire sienne la Déclaration de Yamoussoukro relative au développement du transport (aérien, maritime et routier) entre les pays africains. Il a assuré à la communauté de l’aviation que « l’avenir est africain ».
Quant au président directeur général de IATA, Tony Tyler, il a insisté sur les défis majeurs qui se présentent à l’aviation. Pour lui, la connectivité globale des 54 pays du continent jouent à la fois un rôle d’intégration des économies nationales tout en connectant ces Etats au monde.
Pour y parvenir, estime-t-il, l’engagement des Gouvernements est requis pour résoudre les questions majeures. Ces défis concernent notamment la sécurité, les coûts (kérosène, taxation) et la libéralisation.
Le transport aérien est très significatif en Afrique, avec 67 milliards de dollars investis dans des activités économiques et 6,7 millions d’emplois.
La 69ème Assemblée générale annuelle de IATA qui prend fin mardi, enregistre 700 responsables du transport aérien représentant les 240 compagnies aériennes membres de l’Association, leurs partenaires et les décideurs. L’organisation de l’AG en Afrique du Sud est la 2ème sur le continent, après Nairobi (Kenya) en 1991.
(AIP)
cmas
L’ouverture de la rencontre internationale qui enregistre la participation de délégués issus des grandes compagnies aériennes a été l’opportunité pour les intervenants, à savoir le vice-président ainsi que le ministre sud-africain de l’Industrie publique, Malusi Gigaba, d’appeler les Gouvernements africains d’intégrer le transport aérien comme catalyseur de développement et de la croissance sur le continent.
Au dire de Kgalema Motlanthe, l’apport de l’industrie du transport aérien dans la croissance et le développement est indiscutable car l’aviation contribue à l’inter-connectivité socioéconomique des Etats africains et représente un vecteur de développement à travers les échanges entre l’Afrique et le reste du monde.
Insistant sur la nécessité d’œuvrer à une meilleure régulation et réglementation du secteur, ainsi qu’à l’amélioration de la coopération entre les Etats et les opérateurs du transport aérien, il a insisté sur le potentiel dont regorge l’Afrique.
Auparavant, le ministre Malusi Gigaba a appelé les Gouvernants à faire sienne la Déclaration de Yamoussoukro relative au développement du transport (aérien, maritime et routier) entre les pays africains. Il a assuré à la communauté de l’aviation que « l’avenir est africain ».
Quant au président directeur général de IATA, Tony Tyler, il a insisté sur les défis majeurs qui se présentent à l’aviation. Pour lui, la connectivité globale des 54 pays du continent jouent à la fois un rôle d’intégration des économies nationales tout en connectant ces Etats au monde.
Pour y parvenir, estime-t-il, l’engagement des Gouvernements est requis pour résoudre les questions majeures. Ces défis concernent notamment la sécurité, les coûts (kérosène, taxation) et la libéralisation.
Le transport aérien est très significatif en Afrique, avec 67 milliards de dollars investis dans des activités économiques et 6,7 millions d’emplois.
La 69ème Assemblée générale annuelle de IATA qui prend fin mardi, enregistre 700 responsables du transport aérien représentant les 240 compagnies aériennes membres de l’Association, leurs partenaires et les décideurs. L’organisation de l’AG en Afrique du Sud est la 2ème sur le continent, après Nairobi (Kenya) en 1991.
(AIP)
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