Abidjan - Vingt neuf organisations estudiantines, dont la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d'Ivoire (FESCI), ont signé une charte pour la non-violence au sein des universités ivoiriennes conclue en décembre 2012.
Ces organisations d’étudiants étaient réunies samedi et dimanche dans le cadre d’un atelier, pour notamment mettre en place un observatoire de cette charte, en charge de veiller à son application effective.
Les représentants de ces organisations ont, à l’occasion, paraphé la "charte universitaire ivoirienne de la non-violence", engageant ainsi leurs membres au respect de ses dispositions qui proscrivent entre autres la violence en milieu universitaire et entre étudiants.
Les préoccupations des étudiants ont été également présentées au cours de ce séminaire dont le sous-équipement (manque de micro, climatisation défaillante, électricité, pas d’accès au Wifi) et le manque de laboratoires spécialisés en sciences médicales, bio-science et criminologie.
Ces associations d’étudiants ont par ailleurs condamné le regain de violence enregistré, à la mi-mai, à l’université Nangui Abrogoua d’Abobo-Adjamé et à l’université Félix Houphouët Boigny de Cocody où, spécifiquement, des étudiants s’en étaient violemment pris au ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Cissé Ibrahima Bacongo, rappelle-t-on.
(AIP)
kg/kkp/tm
Ces organisations d’étudiants étaient réunies samedi et dimanche dans le cadre d’un atelier, pour notamment mettre en place un observatoire de cette charte, en charge de veiller à son application effective.
Les représentants de ces organisations ont, à l’occasion, paraphé la "charte universitaire ivoirienne de la non-violence", engageant ainsi leurs membres au respect de ses dispositions qui proscrivent entre autres la violence en milieu universitaire et entre étudiants.
Les préoccupations des étudiants ont été également présentées au cours de ce séminaire dont le sous-équipement (manque de micro, climatisation défaillante, électricité, pas d’accès au Wifi) et le manque de laboratoires spécialisés en sciences médicales, bio-science et criminologie.
Ces associations d’étudiants ont par ailleurs condamné le regain de violence enregistré, à la mi-mai, à l’université Nangui Abrogoua d’Abobo-Adjamé et à l’université Félix Houphouët Boigny de Cocody où, spécifiquement, des étudiants s’en étaient violemment pris au ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Cissé Ibrahima Bacongo, rappelle-t-on.
(AIP)
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