Daloa - Le Directeur régional de l’Environnement de la salubrité urbaine, Kouakou Kouassi, et celui de la SODEFOR, N’guessan Koffi Abraham, ont proposé mercredi, l’agroforesterie comme une alternative pour sauver l’environnement et réduire les effets pervers du changement climatique, à l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement.
S’exprimant dans le cadre d’une conférence sur "Agroforesterie et changements climatiques en Côte d’Ivoire", à l’Université Jean Lorougnon Guédé, ils ont estimé que le changement climatique tel que nous le vivons en Côte d’Ivoire et particulièrement dans le Haut-Sassandra est principalement dû à la dégradation ou à la destruction de notre couvert végétal.
Pour inverser la tendance, les conférenciers ont indiqué que l’agroforesterie qui est une forme d’agriculture associant les plants forestiers aux cultures, pourrait jouer un rôle important dans la sauvegarde de l’environnement, étant donné qu’un arbre tropical, peut stocker près de 22,6 kg de carbone.
En Côte d’Ivoire le taux de déforestation est d’environ 35%. Mais la situation est encore plus catastrophique selon le responsable de la SODEFOR, dans le district du Haut Sassandra-Marahoué où il est de 80% au niveau du parc de la Marahoué.
C’est pourquoi, tout en saluant la volonté clairement affichée du gouvernement d’agir pour freiner la course vers les aires protégées, il a souhaité que les étudiants qui ont initié la conférence, aillent plus loin en lançant par exemple une journée de l’agroforesterie pour se faire entendre, mais surtout pour sensibiliser les acteurs du secteur sur les méfaits de la déforestation ou de l’exploitation abusive des ressources forestières.
S’exprimant dans le cadre d’une conférence sur "Agroforesterie et changements climatiques en Côte d’Ivoire", à l’Université Jean Lorougnon Guédé, ils ont estimé que le changement climatique tel que nous le vivons en Côte d’Ivoire et particulièrement dans le Haut-Sassandra est principalement dû à la dégradation ou à la destruction de notre couvert végétal.
Pour inverser la tendance, les conférenciers ont indiqué que l’agroforesterie qui est une forme d’agriculture associant les plants forestiers aux cultures, pourrait jouer un rôle important dans la sauvegarde de l’environnement, étant donné qu’un arbre tropical, peut stocker près de 22,6 kg de carbone.
En Côte d’Ivoire le taux de déforestation est d’environ 35%. Mais la situation est encore plus catastrophique selon le responsable de la SODEFOR, dans le district du Haut Sassandra-Marahoué où il est de 80% au niveau du parc de la Marahoué.
C’est pourquoi, tout en saluant la volonté clairement affichée du gouvernement d’agir pour freiner la course vers les aires protégées, il a souhaité que les étudiants qui ont initié la conférence, aillent plus loin en lançant par exemple une journée de l’agroforesterie pour se faire entendre, mais surtout pour sensibiliser les acteurs du secteur sur les méfaits de la déforestation ou de l’exploitation abusive des ressources forestières.