Bouaké- Les enseignants de l’Université Alassane Ouattara (UAO) regroupés au sein de la coordination nationale des enseignants et chercheurs de Côte d’Ivoire (CNEC) revendiquent le paiement d’une dette de 1,276 milliards F CFA en souffrance à l’inspection générale des Finances.
’’Cette dette vielle de six ans reste entière au grand dam de la communauté universitaire", a déclaré le secrétaire général de la section CNEC Roger Troh Dého jeudi lors d’une conférence de presse tenue au campus 2 de l’UAO.
Le professeur Troh Dého a également exigé le paiement des heures complémentaires du premier semestre 2012-2013 et la prime de recherche de juin
’’Si rien n’est fait dans les meilleurs délais, la CNEC de Bouaké se réserve le droit d’utiliser tous les moyens légaux pour se faire payer", a prévenu le secrétaire de la section CNEC de Bouaké.
Selon le professeur Troh Dého après plusieurs rencontres avec les autorités universitaires et de nombreux courriers d’interpellations aux autorités ministérielles, et au conseil de gestion de l’Université le 02 mai en présence des représentant du président de la république du Premier Ministre et du ministre de l’économie et des finances rien n’a été décidé et leur ’’horizon est encore à l’horizon’’.
Le professeur Troh Dého indique que les enseignants de l’Université ont fait preuve de patience et surtout de sacrifice en travaillant dans des conditions difficiles inexistance de matériel didactique, de secrétaire de bureaux et payant de leur propre poches et depuis la France ,les manuels d’enseignement.
’’Les enseignants accpetent de faire des sacrifices qu’il faut pour aider la renaissance de l’Université, mais refusent d’être sacrifiés’’, a martelé le secrétaire de la CNEC.
(AIP)
nam/tm
’’Cette dette vielle de six ans reste entière au grand dam de la communauté universitaire", a déclaré le secrétaire général de la section CNEC Roger Troh Dého jeudi lors d’une conférence de presse tenue au campus 2 de l’UAO.
Le professeur Troh Dého a également exigé le paiement des heures complémentaires du premier semestre 2012-2013 et la prime de recherche de juin
’’Si rien n’est fait dans les meilleurs délais, la CNEC de Bouaké se réserve le droit d’utiliser tous les moyens légaux pour se faire payer", a prévenu le secrétaire de la section CNEC de Bouaké.
Selon le professeur Troh Dého après plusieurs rencontres avec les autorités universitaires et de nombreux courriers d’interpellations aux autorités ministérielles, et au conseil de gestion de l’Université le 02 mai en présence des représentant du président de la république du Premier Ministre et du ministre de l’économie et des finances rien n’a été décidé et leur ’’horizon est encore à l’horizon’’.
Le professeur Troh Dého indique que les enseignants de l’Université ont fait preuve de patience et surtout de sacrifice en travaillant dans des conditions difficiles inexistance de matériel didactique, de secrétaire de bureaux et payant de leur propre poches et depuis la France ,les manuels d’enseignement.
’’Les enseignants accpetent de faire des sacrifices qu’il faut pour aider la renaissance de l’Université, mais refusent d’être sacrifiés’’, a martelé le secrétaire de la CNEC.
(AIP)
nam/tm