Abidjan – Le président Alassane Ouattara, modérateur d’une session du Forom des marchés émergents portant sur la mise en œuvre de la "vision 2050 de l’Afrique", a indiqué au terme des débats, que la priorité pour une Afrique émergente reste la paix.
« Sans un climat de paix, il n’y a pas réellement de possibilité de sécurité et de développement », a déclaré M.Ouattara, rappelant l’expérience de la Côte d’Ivoire qui a sombré durant dix années de crise.
Il a surtout noté que la paix nécessite un certain nombre d’ingrédients, notamment la bonne gouvernance, l’intégration de notre culture et tenir compte des contraintes au niveau de l’environnement.
Le problème de la jeunesse reste tout de même le problème central, a précisé le modérateur de la session à savoir l’éducation, la formation, la création d’emploi au profit des jeunes qui pourraient être des « bombes à retardement ».
Il a invité ses pairs, dirigeants africains, à tenir compte du rôle de la jeunesse et de la femme en ayant à l’esprit la nécessité de moderniser les sociétés africaines.
« Je suis optimiste, car les progrès sont impressionnants ces dernières années » a-t-il dit.
Bien avant lui, les panélistes ont, dans leur ensemble, montré que pour réussir la mise en œuvre de cette vision, plusieurs enjeux sont à considérer. Il s’agit notamment de la sécurité, l’Etat de droit et la gouvernance.
Ils ont démontré également que les pouvoirs publics doivent œuvrer à réduire les inégalités et favoriser la prospérité et la cohésion.
Il a été également proposé la mise en place d’un mécanisme de suivi, soit au plan continental, soit au plan national.
« Sans un climat de paix, il n’y a pas réellement de possibilité de sécurité et de développement », a déclaré M.Ouattara, rappelant l’expérience de la Côte d’Ivoire qui a sombré durant dix années de crise.
Il a surtout noté que la paix nécessite un certain nombre d’ingrédients, notamment la bonne gouvernance, l’intégration de notre culture et tenir compte des contraintes au niveau de l’environnement.
Le problème de la jeunesse reste tout de même le problème central, a précisé le modérateur de la session à savoir l’éducation, la formation, la création d’emploi au profit des jeunes qui pourraient être des « bombes à retardement ».
Il a invité ses pairs, dirigeants africains, à tenir compte du rôle de la jeunesse et de la femme en ayant à l’esprit la nécessité de moderniser les sociétés africaines.
« Je suis optimiste, car les progrès sont impressionnants ces dernières années » a-t-il dit.
Bien avant lui, les panélistes ont, dans leur ensemble, montré que pour réussir la mise en œuvre de cette vision, plusieurs enjeux sont à considérer. Il s’agit notamment de la sécurité, l’Etat de droit et la gouvernance.
Ils ont démontré également que les pouvoirs publics doivent œuvrer à réduire les inégalités et favoriser la prospérité et la cohésion.
Il a été également proposé la mise en place d’un mécanisme de suivi, soit au plan continental, soit au plan national.