San Pedro – La coopérative agricole Binkéléman de Belle-Ville, dans la sous-préfecture de Grand-Béréby, a réalisé un bénéfice d’un peu plus de 12 millions de FCFA, au cours de la campagne 2012, selon le rapport moral et financier présenté, jeudi, par le président du conseil d’administration, El hadj Fofana Sidiki.
Selon M. Fofana, cet excédent financier a été engrangé grâce à la commercialisation de 2.903 tonnes de cacao livrées par les 300 membres de la CA2B, soit un taux de croissance de 152%, par rapport à l’exercice 2011. Ce résultat dénote de la bonne santé financière de cette jeune organisation professionnelle agricole (OPA) qui ne compte que quatre années d’existence.
Il donne l’occasion au PCA d’envisager des investissements au profit de la CA2B, notamment la construction d’un magasin de stockage de 500 tonnes à Ouhaoulo, puis au profit de la communauté. Ces appuis se caractérisent par le financement des projets de construction d’écoles primaires à N’Gorankro et à Coulibaly-So.
Malgré cela, le PCA n’a cependant pas manqué de relever les difficultés de parcours liées au mauvais état des pistes, ainsi qu’à l’"insignifiante marge différentielle" sur le prix du kilogramme de cacao octroyée aux coopératives qui les rendent désormais non compétitives.
(AIP)
ja/nf
Selon M. Fofana, cet excédent financier a été engrangé grâce à la commercialisation de 2.903 tonnes de cacao livrées par les 300 membres de la CA2B, soit un taux de croissance de 152%, par rapport à l’exercice 2011. Ce résultat dénote de la bonne santé financière de cette jeune organisation professionnelle agricole (OPA) qui ne compte que quatre années d’existence.
Il donne l’occasion au PCA d’envisager des investissements au profit de la CA2B, notamment la construction d’un magasin de stockage de 500 tonnes à Ouhaoulo, puis au profit de la communauté. Ces appuis se caractérisent par le financement des projets de construction d’écoles primaires à N’Gorankro et à Coulibaly-So.
Malgré cela, le PCA n’a cependant pas manqué de relever les difficultés de parcours liées au mauvais état des pistes, ainsi qu’à l’"insignifiante marge différentielle" sur le prix du kilogramme de cacao octroyée aux coopératives qui les rendent désormais non compétitives.
(AIP)
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