Les habitants du quartier Ciad Primo, à la Riviera M'Pouto, ne savent plus à quel saint se vouer. Eux qui dénoncent depuis plusieurs années l'insalubrité et la nuisance sonore qui leur empoisonnent la vie.
Dans une pétition adressée aux autorités compétentes, une cinquantaine de résidents du quartier expliquent que la situation d'insalubrité qui persiste le long de la ruelle et du caniveau qui mènent à la lagune est causée par une occupation anarchique de la voie publique, avec pour conséquences nuisance sonore, urine, déjections de toutes sortes, insécurité, etc. Selon les signataires de cette pétition, le désordre s'est installé depuis que des individus ont érigé des baraques sur l'emprise du canal qui va jusqu'à la lagune, y exerçant diverses activités qui réduisent considérablement la voie, provoquant même des inondations en période de pluie. « Certains y font leurs besoins, déversent les ordures ménagères. Des camions citernes viennent décharger leur contenu dans le caniveau », se plaignent les pétitionnaires. Toute chose qui engendre de nombreux désagréments. A savoir l'odeur nauséabonde qui se dégage de cet endroit et qui le rend irrespirable pour le voisinage, les déchets de toutes sortes qui en font un nid de microbes et de virus, les risques de maladie et d'épidémie pour les passants et les riverains, les branchements électriques anarchiques, sans oublier les mécaniciens qui essaient les véhicules en réparation et qui conduisent à vive allure, mettant la vie des riverains en danger.
Cette pétition, faut-il le rappeler, a été déposée au Ministère de la Salubrité urbaine depuis le 17 septembre 2012. Mais depuis lors, aucune mesure n'a été prise et la situation ne fait qu'empirer avec la saison des pluies. C'est pourquoi, dans un courrier dont copie nous est parvenue hier, lundi 24 juin 2013, les habitants du quartier Ciad Primo ont décidé d'interpeller encore une fois les autorités, tout en espérant que leur pétition retiendra leur attention. « Nous avons l'honneur de demander par la présente à nos autorités d'intervenir dans le cadre de leurs compétences en la matière de salubrité publique, afin de contrôler les règles d'hygiène dans ce lieu », écrivent-ils dans le courrier.
H.O
Dans une pétition adressée aux autorités compétentes, une cinquantaine de résidents du quartier expliquent que la situation d'insalubrité qui persiste le long de la ruelle et du caniveau qui mènent à la lagune est causée par une occupation anarchique de la voie publique, avec pour conséquences nuisance sonore, urine, déjections de toutes sortes, insécurité, etc. Selon les signataires de cette pétition, le désordre s'est installé depuis que des individus ont érigé des baraques sur l'emprise du canal qui va jusqu'à la lagune, y exerçant diverses activités qui réduisent considérablement la voie, provoquant même des inondations en période de pluie. « Certains y font leurs besoins, déversent les ordures ménagères. Des camions citernes viennent décharger leur contenu dans le caniveau », se plaignent les pétitionnaires. Toute chose qui engendre de nombreux désagréments. A savoir l'odeur nauséabonde qui se dégage de cet endroit et qui le rend irrespirable pour le voisinage, les déchets de toutes sortes qui en font un nid de microbes et de virus, les risques de maladie et d'épidémie pour les passants et les riverains, les branchements électriques anarchiques, sans oublier les mécaniciens qui essaient les véhicules en réparation et qui conduisent à vive allure, mettant la vie des riverains en danger.
Cette pétition, faut-il le rappeler, a été déposée au Ministère de la Salubrité urbaine depuis le 17 septembre 2012. Mais depuis lors, aucune mesure n'a été prise et la situation ne fait qu'empirer avec la saison des pluies. C'est pourquoi, dans un courrier dont copie nous est parvenue hier, lundi 24 juin 2013, les habitants du quartier Ciad Primo ont décidé d'interpeller encore une fois les autorités, tout en espérant que leur pétition retiendra leur attention. « Nous avons l'honneur de demander par la présente à nos autorités d'intervenir dans le cadre de leurs compétences en la matière de salubrité publique, afin de contrôler les règles d'hygiène dans ce lieu », écrivent-ils dans le courrier.
H.O